Cette semaine, ami abonné,
J’ai enquêté sur une affaire fichtrement teutechie : les insinuations lourdes de sous-entendus proférées par le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner, aux dépens du premier secrétaire du PS, Olivier Faure, un personnage peu ragoûtant, profondément dépravé, puisque plusieurs fois divorcé, selon les dires mêmes du premier policier de France.
En prenant des risques insensés, j’ai découvert l’origine de la brouille à mort entre les deux anciens cadres du mouvement des jeunes Rocardiens. Prénommée Marie-Charlotte (enfin, je crois), cette sublime poperéniste qu’Olivier convoitait en secret lui fut subtilisée par son meilleur ami (à l’époque) Christophe, séducteur impénitent et tombeur de ces dames, grâce à sa maîtrise dans l’art de faire tintinnabuler les gourmettes. C’est ce qui explique la « montée aux extrêmes » à laquelle les deux hommes se sont livrés, en marge de l’affaire Griveaux (alias « comment flinguer sa carrière politique en se filmant en train de se tirer sur le tortellini pour faire le joli cœur auprès des dames qu’on ne connaît pas »).
En prime, notre employé de la semaine, Jonathan Duong, va nous faire bien rigoler en décortiquant le charabia managérial dont nos gouvernants sont friands.
Bon visionnage.