Au programme cette semaine, ami abonné :
nous examinerons, non sans effroi, les conséquences géopolitiques de l’humiliation que le président Giscard (ce qu’il en reste) a infligé à l’Allemagne, en pinçant les fesses d’une de ses journalistes lors d’une interview, il y a deux ans. Avec un acharnement qui confinait à la déclaration de guerre. Si après ça, les Allemands ne réarment pas fissa, on pourra estimer s’en être bien tirés.
Notre employé de la semaine permanent, Jonathan Duong, nous démontrera qu’il n’y a pas grand-chose qui sépare la propagande chinoise de la communication élyséenne, une feuille de papier lotus, à tout casser.
Et enfin Georges Profond, notre clandé dormant dans l’éducation nationale, adressera par ma voix (pour des raisons de sécurité) un message d’encouragement à ses collègues, à sa façon, toujours un peu… rude ?
Bon visionnage.