Par les temps qui courent, incertains, ouverts au pire comme au meilleur (et à l’abus de clichés idiots, déjà comme je le prouve lamentablement en cet instant même), il est fortement recommandé de se moquer des puissants (ça apaise), en premier lieu évidemment de nos dirigeants, tous plus à la ramasse les uns que les autres, mais aussi et surtout de ceux qui nous dirigent vraiment (attention, irruption imminente d’un cliché odieusement populiste), à savoir les puissances d’argent.
Pour ces dernières, faire de la pub, ou simplement communiquer dans un tel contexte, devient un authentique supplice chinois, et moi j’adore qu’on supplicie le groupe Lidl (on est mal, patron, on est très mal !), en lui imposant la plus grande réserve : se contenter, par exemple, de sponsoriser « les applaudissements de 20 heures » (de la com’ de crevard !), alors qu’il y a de quoi gratter de la part de marché jusqu’à plus faim.
Bon appétit.