Il est persuadé d’avoir été battu en 2012 sur un malentendu ; les autodestructions en plein vol du grand bullshiteux de la Haute-Loire et du Bellamy préféré des rombières versaillaises lui ont donné des ailes ; et voilà que son bouquin de souvenirs du bon vieux temps fait un carton en librairie.
Il n’en faut pas plus pour que le surélevé frénétique se voit déjà rechausser ses talonnettes géantes qui l’empêchent de marcher ailleurs que dans la cour de l’Élysée. Comme chaque année (au moins), Sarkozy était dimanche sur le plateau de son (très vieil) ami Michel Drucker pour y peaufiner son nouveau personnage de campagne électorale, celui du vieux sage Shaolin chenu en paix avec le reste de l’univers, qui a tout vu, tout connu, tout essayé, et qui donc est paré à faire encore plus de conneries pendant son second mandat que lors du premier. Un personnage auquel, je te rassure, ami abonné, personne d’un tout petit peu sensé ne peut croire une seconde.
En bonus, notre employé de la semaine, Gaylord Van Wymeersch, nous dira tout sur la surveillance faciale.
Bon visionnage.