Eh oui, Anne Méaux est une rebelle ! Pendant que tout le monde se vautrait dans l’oisiveté et la luxure soixante-huitardes, la jeune Anne s’élevait courageusement contre le communisme qui frappait aux portes de Paris. Et c’est cet anti-communisme chevillé au corps qui l’a fait rejoindre au début des années 1970 des organisations droit-de-l’hommistes et anti-totalitaristes, comme le GUD, Ordre nouveau ou le Parti des forces nouvelles. Et même si sa carrière florissante en tant que présidente d’Image 7, une agence de communication au service des meilleurs talents du CAC 40, l’a rendue intime de nos plus grands capitaines d’industrie comme François Pinault ou Jean-Charles Naouri, Anne Méaux n’a rien perdu de ses engagements de jeunesse. Son ultime combat ? Féminiser le CAC 40. En 2023, il serait temps !
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Anne Méaux : « J’ai monté un comité antigrève à 14 ans dans mon lycée en mai 1968 ! » Abonnés
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