Une série d’histoires dans les luttes pour l’émancipation, racontées par Olivier Besancenot

1848, la révolution oubliée (2/3) Abonnés

1

Le

Tout un été Là-bas, c’est le temps de prendre son temps… le temps de (re)découvrir le meilleur de Là-bas, mais aussi des surprises et des pépites à déguster.

Bien sûr, tous les Français ont en mémoire la Révolution française, avec une majuscule qui dispense de préciser qu’il s’agit de celle de 1789. Les plus à gauche d’entre nous se réfèrent plutôt à celle de 1871, la Commune de Paris. Par contre, de la révolution de 1848, il n’en est presque jamais question, occultée de la mémoire nationale, « oubliée » selon le mot des historiens Michèle Riot-Sarcey et Maurizio Gribaudi.

Olivier Besancenot vous raconte, en trois épisodes, pourquoi cette révolution est un moment fondamental dans l’histoire de l’émancipation. Aujourd’hui, deuxième épisode : le spectre du communisme.

Abonnez-vous pour accéder à tous nos contenus, c’est très simple !

Depuis 1989 à la radio, Là-bas si j’y suis se développe avec succès aujourd’hui sur le net. En vous abonnant vous soutenez une manière de voir, critique et indépendante. L’information a un prix, celui de se donner les moyens de réaliser des émissions et des reportages de qualité. C’est le prix de notre travail. C’est aussi le prix de notre indépendance, pour ne pas être soumis financièrement aux annonceurs, aux subventions publiques ou aux pouvoirs financiers.

Je m'abonne J'offre un abonnement

Déjà abonné.e ?
Identifiez-vous

chronique : Olivier Besancenot
réalisation : Jonathan Duong
montage : Ugo Simon
son : Alexandre Lambert

Voir aussi

-  Michèle Riot-Sarcey et Maurizio Gribaudi, 1848. La révolution oubliée, La Découverte, 2008

- Raoul Peck, Le jeune Karl Marx, France/Allemagne/Belgique, 1h58, 2017

Sur notre site

À voir

  • Une série d’histoires dans les luttes pour l’émancipation, racontées par Olivier Besancenot

    1848, la révolution oubliée (3/3) Abonnés

    Voir
    Bien sûr, tous les Français ont en mémoire la Révolution française, avec une majuscule qui dispense de préciser qu’il s’agit de celle de 1789. Les plus à gauche d’entre nous se réfèrent plutôt à celle de 1871, la Commune de Paris. Par contre, de (...)

C'est vous qui le dites…Vos messages choisis par l'équipe

Les bouquins de LÀ-BASLire délivre

  • Voir

    La bibliothèque de LÀ-BAS. Des perles, des classiques, des découvertes, des outils, des bombes, des raretés, des bouquins soigneusement choisis par l’équipe. Lire délivre...

    Vos avis et conseils sont bienvenus !

Dernières publis

Une sélection :

Le 13 mars 2010 Jean Ferrat prenait le dernier train. On n’oublie pas... FERRAT, C’EST NOUS TOUS ! Des chansons, des archives, des inédits… Accès libreVoir

Le

Il y a 13 ans, le 13 mars, Jean Ferrat prenait le dernier train. On n’oublie pas, car Ferrat, c’est nous tous. La montagne, c’est chez nous, les marins de Potemkine, c’est nos frères, ma môme, c’est la mienne, la nuit et le brouillard, c’est en nous, c’est nous qui ne guérissons pas de notre enfance, c’est nous qui aimons à perdre la raison.

Une série d’histoires dans les luttes pour l’émancipation, racontées par Olivier Besancenot Qui a inventé le 8 mars ? AbonnésVoir

Le

C’est maintenant à peu près acquis pour tout le monde, le 8 mars n’est pas la journée « de la femme », mais la « journée internationale des droits des femmes ». Un jour de manifestations et de grèves qui semble connaître un nouveau souffle avec le mouvement féministe récent, qui lutte autant contre les violences sexistes et sexuelles que pour réduire les inégalités salariales et améliorer les conditions de travail des métiers majoritairement exercés par des femmes. Mais saviez-vous qu’aux origines de cette journée du 8 mars se trouvait l’Internationale socialiste des femmes ?