Un article paru sur Politis.fr, le 31 octobre 2014, par Jean-Claude Renard.

Article de Politis.fr (31 octobre 2014)
Quand tu crois qu’il n’y a aucun espoir, pense aux homards qui se trouvaient dans l’aquarium du restaurant du Titanic. Anonyme
radio france en feu
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Retour à la normale suite à l’incendie à Radio France, mais des doutes persistent (article de Politis.fr).
Un article paru sur Politis.fr, le 31 octobre 2014, par Jean-Claude Renard.
Article de Politis.fr (31 octobre 2014)
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Bagnole, vélo et lutte de classes. Dans « RIEN N’EST SIMPLE », son premier album en 1962, SEMPÉ avait deviné…
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Amies abonnées, amis abonnés, eh oui, c’est bien lui ! Bernard Henri-Lévy a un pouvoir de résurrection étonnant. Alors qu’on pensait que ses multiples postures et impostures avaient définitivement fait éclater la baudruche Bernard-Henri, force est de constater que le ridicule ne viendra jamais à bout de BHL. Preuve en est : alors qu’on le croyait définitivement décrédibilisé et rangé sur l’étagère des Tartuffe démasqués, la guerre en Ukraine est une occasion inespérée pour l’homme d’affaires de se remettre en selle. Pourquoi le ridicule ne tue pas BHL ? Réponse en cinq moments d’anthologie classés du plus ridicule à l’encore plus ridicule par Jonathan Duong.
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C’est une photo, mais laquelle ? « Qu’est-ce que vous en pensez ? » C’est la question que Sophie Simonot a posée à des gens de toutes sortes en leur montrant cette image.
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Député et journaliste, François Ruffin a été reporter pendant sept ans dans l’équipe de LÀ-BAS SI J’Y SUIS sur France Inter, de 2005 à 2012. Tout ceux qui sont passés par Là-bas poursuivent tous des carrières brillantissimes mais député c’était quand même inattendu. Aujourd’hui Là-bas continue de plus belle sur le net mais dès sa création en 1989 sur France Inter, nous avons affiché notre engagement « Plus près des jetables que des notables » tout en pratiquant un journalisme rigoureux, populaire et inventif, essentiellement de reportages, souvent dans les luttes sociales, avec (rappelons-le) toujours un grand succès d’audience. De quoi acquérir une expérience et des idées qui vous donnent l’absolue certitude que à la fin c’est nous qu’on va gagner !
Parmi des dizaines de reportages au cours de ces années, Daniel Mermet et François Ruffin vous proposent un choix établi au cours d’une rencontre en public au Lieu-Dit.
Entretien en vidéo en trois parties avec tout les reportages à (re)découvrir en PODCAST.
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ENVIE de BEZIERS. Un grand moment avec nos amis LES OGRES DE BARBACK pour une émission spéciale en public (500 personnes) le 12 mars 2017 sur le thème DOLÉANCES et RÉSISTANCES. Pour se recharger les batteries voilà le concert en intégralité avec en plus en vidéo une superbe version de LILY de Pierre Perret. Un cadeau GRATOS pour vous donner envie de soutenir LÀ-BAS pour qu’on remette ça !
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C’est une photo, mais laquelle ? « Qu’est-ce que vous en pensez ? » C’est la question que Sophie Simonot a posée à des gens de toutes sortes en leur montrant cette image.
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« Qu’est-ce que vous en pensez ? » C’est la question que Sophie Simonot a posée à des personnes de tous âges, de différents milieux, en leur montrant cette photo.
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C’est une photo, mais laquelle ? « Qu’est-ce que vous en pensez ? » C’est la question que Sophie Simonot a posée à des gens de toutes sortes en leur montrant cette image. Incroyable, tout ce qu’une simple image peut faire dire et révéler de notre humanité, spontanément au coin de la rue !
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« Qu’est-ce que vous en pensez ? » C’est la question que Sophie Simonot a posée à des personnes de tous âges, de différents milieux, en leur montrant cette photo.
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Bien sûr, tous les Français ont en mémoire la Révolution française, avec une majuscule qui dispense de préciser qu’il s’agit de celle de 1789. Les plus à gauche d’entre nous se réfèrent plutôt à celle de 1871, la Commune de Paris. Par contre, de la révolution de 1848, il n’en est presque jamais question, occultée de la mémoire nationale, « oubliée » selon le mot des historiens Michèle Riot-Sarcey et Maurizio Gribaudi. Olivier Besancenot vous raconte, en trois épisodes, pourquoi cette révolution est un moment fondamental dans l’histoire de l’émancipation. Aujourd’hui, deuxième épisode : le spectre du communisme.
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Que restera-t-il de Georgia, qui a 94 ans aujourd’hui ? Il restera ce que vous allez entendre, sa vie.
1945, la guerre est finie, la guerre la plus meurtrière de l’histoire et la plus barbare. Dans la hiérarchie des crimes commis, le viol des femmes vient à la fin ou n’est même pas mentionné. Pourtant le viol fut partout, systématiquement, par million. Depuis toujours ce qui fait que le combattant combat, c’est la promesse du pillage et du viol. Jusque là, à 94 ans, Georgia n’en avait jamais parlé. Voici l’épisode 4.
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Depuis la naissance du monde, l’homme a eu peur de la fin du monde, mais le 6 août 1945, pour la première fois, l’humanité est devenue capable de se détruire elle-même. Les causes en sont idéologiques et politiques, et sont les mêmes que celles qui aujourd’hui entraînent la destruction de la planète, comme si Hiroshima ne nous avait rien appris.
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Amis abonnés, connaissez-vous l’émission « Patron incognito » ? Cela fait maintenant dix ans que la chaîne M6 propose au public français cette adaptation de l’émission américaine « Undercover Boss ». Traduction : « patron infiltré ». Une vision bien particulière du dialogue social où le dirigeant d’une entreprise se grime en chômeur longue durée pour pouvoir faire un stage dans sa propre entreprise et surveiller ainsi ses propres salariés sans que ceux-ci s’en doutent. Vous n’y croyez pas ? Jonathan Duong a regardé pour vous le dernier épisode diffusé cette semaine par M6.
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Oui, et même ils vont manger nos chiens et violer nos enfants… C’est le genre de messages (anonymes) qu’ont pu recevoir les élus des villages qui ont fait le choix d’accueillir des migrants. Frappés par l’image du petit Aylan noyé sur une plage, en septembre 2015, ou bien par le démantèlement de la jungle de Calais en octobre 2016, des villages – plus ou moins désertés – ont créé des structures d’hébergement pour des réfugiés un peu partout en France. Comment fonctionnent ces centres, aujourd’hui, dans cette France profonde qui se barricade, creuse des tunnels et prépare les fourches face aux hordes fanatisées du grand remplacement annoncé par Zemmour et ceux qui l’applaudissent ? C’est ce que nous allons voir à Pessat-Villeneuve, quelque part en Auvergne.
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Bien sûr, tous les Français ont en mémoire la Révolution française, avec une majuscule qui dispense de préciser qu’il s’agit de celle de 1789. Les plus à gauche d’entre nous se réfèrent plutôt à celle de 1871, la Commune de Paris. Par contre, de la révolution de 1848, il n’en est presque jamais question, occultée de la mémoire nationale, « oubliée » selon le mot des historiens Michèle Riot-Sarcey et Maurizio Gribaudi. Olivier Besancenot vous raconte, en trois épisodes, pourquoi cette révolution est un moment fondamental dans l’histoire de l’émancipation. Aujourd’hui, premier épisode : le déclenchement.
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Dernière partie de notre rencontre avec l’équipe du Monde diplomatique du mois de décembre, avec Pierre RIMBERT : médias français, qui possède quoi.
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WOKE ? C’est quoi donc ? Bien peu le savent. Selon une enquête IFOP de février 2021, 14 % en ont « entendu parler » et à peine 6 % en connaissent le sens. Pourtant, toute la droite réactionnaire s’époumone contre ce fléau qui détruit notre grande civilisation. Oui, nous sommes en guerre et vous ne le savez même pas.
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L’instituteur Jacques SIGOT a lutté 36 ans pour faire reconnaître le camp d’internement des Tsiganes de Montreuil-Bellay.
En janvier 1993, il y a 24 ans (!), Daniel MERMET rencontrait Jacques SIGOT et Jean-Louis BAUER, un Tsigane surnommé « Poulouche », qui nous faisaient découvrir ce camp où plus de 2 000 tsiganes furent internés.
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C’est la phrase qui a déclenché les émeutes en Guadeloupe. Les grévistes demandaient une augmentation de 2,5%. Le pouvoir a fait tirer dans le tas. Bilan : au moins 80 morts. Christiane Taubira a parlé de 100 morts.
C’était en mai 1967 à Pointe-à-Pitre. Un massacre passé sous silence en métropole, mais en Guadeloupe on s’en souvient. On se souvient de cette violence-là et des autres, la colère d’aujourd’hui vient de loin.