En 2016, Alain Minc nous parlait déjà d’Emmanuel Macron et de son « métier de pute » :
Alain Minc à propos d’Emmanuel Macron : « Il avait toutes les qualités... »
Macron : le banquier de Rothschild n’était pas le seul à savoir en parler
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Entre le fort et le faible, entre le riche et le pauvre, entre le maitre et le serviteur, c’est la liberté qui opprime et c’est la loi qui affranchit. Henri Lacordaire
Alain Minc à propos d’Emmanuel Macron : « Il avait toutes les qualités... »
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En 2016, Alain Minc nous parlait déjà d’Emmanuel Macron et de son « métier de pute » :
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Amnesty publie un rapport de 300 pages consacré aux ripostes israéliennes suite aux attaques du Hamas. Plus de 42 000 morts et 100 000 blessés depuis le 7 octobre 2023. Amnesty a interrogé victimes et témoins, personnels de santé, représentants d’ONG et agents de l’ONU, elle a analysé images, rapports et déclarations publiques des autorités israéliennes civiles et militaires pour conclure à une intention génocidaire de l’État hébreu à Gaza au-delà de son intention militaire d’éradiquer le Hamas.
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Une découverte de la Colombie derrière le déferlement médiatique de l’enlèvement d’Íngrid Betancourt. Femme politique franco-colombienne, Íngrid Betancourt était otage des FARC dans le cadre des négociations avec le pouvoir colombien. La classe politique française se livrait à une compétition acharnée pour sa libération. Mais à quoi ressemblait alors la Colombie ? Et pourquoi cette guérilla terroriste ? Quel but, quelle histoire, quel soutien ? Aujourd’hui, 17 ans plus tard, le film de Pierre Carles revient sur cette lutte au moment de son difficile dénouement.
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En 2016, Pierre Carles apprend que des pourparlers sont engagés pour une trêve entre les FARC (Forces armées révolutionnaires de Colombie) et le gouvernement après quatre décennies de luttes acharnées et meurtrières qui ont endeuillé et divisé le pays. Il décide de s’y rendre pour rencontrer celles et ceux qui vont déposer les armes et aussi pour raconter cette histoire méconnue en France où ne reste que l’histoire d’Íngrid Betancourt, prisonnière des terroristes.
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C’était le gros titre d’un petit journal de Bhopal qui ne comptait qu’un seul journaliste, le génial et modeste Rajkumar Keswani. C’était juste un mois avant la pire catastrophe industrielle de l’histoire, à Bhopal, le 3 décembre 1984. Personne n’a entendu le cri d’alarme de ce formidable lanceur d’alerte qui a consacré sa vie à la vérité et à la cause des victimes. Devenu célèbre mais toujours modeste, il aidait volontiers les confrères de passage comme nous en 2004. Il a depuis quitté cette planète en 2021, mais nous le retrouvons dans ces deux reportages qui lui sont dédiés.
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Si on vous demande une chanson chilienne, vous répondez sans hésitez, vous chantez tout de suite, vous scandez : « El pue-blo u-ni-do ja-más se-rá ven-cido ! ». Mais la chanson des Quilapayún, c’est un peu l’arbre qui cache la forêt de la « nueva canción ». La « nouvelle chanson », c’est la bande son de la contestation, c’est un mouvement musical et plus généralement culturel qui a accompagné les transformations politiques du Chili des années 1960 et 1970. Parmi les artistes de la « nueva canción », on trouve le groupe Karaxú, et parmi les chansons du groupe Karaxú, on trouve la chanson « Trabajadores al poder », les « travailleurs au pouvoir ». Olivier Besancenot vous raconte comment cette chanson est devenue l’hymne du Movimiento de Izquierda Revolucionaria, le MIR, mouvement de la gauche révolutionnaire dirigé par Miguel Enríquez.
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Ce que ces femmes ont un commun : l’une Palestinienne, l’autre Israélienne, chacune a perdu un enfant dans la guerre. Bushra Awad est palestinienne, Robi Damelin est israélienne. Leur amitié est née dans le sang de leurs enfants morts dans les affrontements armés. Elles font partie du « cercle des parents ». Un des plus importants mouvements pacifistes né en 1994 et qui compte environ 600 familles des deux communautés qui luttent ensemble. Des familles qui ont perdu des enfants au cours des affrontements continuels depuis des années et qui cherchent à donner un sens politique à leur douleur.
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Cette semaine, la Corée du Sud accueille un sommet international sur le plastique. L’objectif est d’adopter un accord mondial visant à réduire la production de plastique. Il y a près de soixante ans, en plein cœur des Trente Glorieuses, la société française, comme beaucoup d’autres pays, se mettait à l’heure du tout jetable. Sans trop se poser de questions. Le temps des questions est venu, qui vont à l’encontre de la stratégie actuelle de l’industrie pétrolière et même de certains États qui voient dans le plastique une activité très lucrative ! Et ça, Dillah, ça l’étonne.
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Une chanson peut en cacher une autre. Olivier Besancenot l’a illustré à de nombreuses reprises dans sa série de « chants de bataille ». Le chant du jour ne fait pas exception puisqu’il a été écrit à chaud par Jean Baptiste Clément, alors élu au Conseil de la Commune, encore sous le choc de la violence qui vient de mettre un terme sanglant à la Commune de Paris. Dans l’urgence, c’est l’air d’une autre chanson, le Chant des paysans de Pierre Dupont, qui va servir à dénoncer les milliers de morts tués par les Versaillais. Olivier Besancenot revient aujourd’hui sur l’histoire de la Commune, sur sa répression sanglante et sur cette chanson devenue le mantra du mouvement ouvrier quand il va mal : « les mauvais jours finiront » !
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C’est la guerre que mène Israël. C’est ce qu’affirme le général Yoav Gallant, l’ex-ministre israélien de la défense qui fait l’objet d’un mandat d’arrêt pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité par la cour pénale internationale depuis le 21 novembre. Il n’est pas seul, le premier ministre Benyamin Nétanyahou et le leader du Hamas Mohammed Deif sont également poursuivis, tous les trois portant le même chapeau avec écrit en gros « criminel de guerre ».
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Dans la nuit du 7 au 8 novembre à Amsterdam, après un match de foot entre l’Ajax et le Maccabi Tel Aviv, des juifs ont été pris pour cibles en plein cœur de l’Europe. Indignation, émotion, condamnation. Mais que s’est-il vraiment passé ? Poser la question vous rend suspect.
C’est évident, c’est un pogrom. Le mot va être repris partout. Récupération, instrumentalisation, surenchère délirante. Il faudra plusieurs jours pour qu’un peu d’information et qu’un peu de réflexion parviennent à montrer un peu de vérité. Trop tard bien sûr, on connaît : le mensonge monte par l’ascenseur, la vérité prend l’escalier.
C’est le leader d’extrême droite Geert Wilders qui a dégainé le premier en lâchant à chaud le mot POGROM. C’est, huit jours plus tard, Femke Halsema, la maire d’Amsterdam, qui regrette publiquement d’avoir utilisé ce mot-là et qui dénonce l’opération de « propagande » de la part du gouvernement Nétanyahou.
Et ça, Dillah, ça l’étonne.
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La Cour pénale internationale (CPI) a émis ce 21 novembre 2024 un mandat d’arrêt contre le premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité ainsi que contre l’ex-ministre de la défense Yoav Gallant et le chef de la branche armée du Hamas, Mohammed Deïf.
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Comme par magie, elle est sortie du chapeau de la gauche le 23 juillet 2024. La voix des dieux de gauche est sortie des nuages : « petite Lucie, tu vas faire première ministre ! ». « Quoi ? Moi ? Qui n’ai aucun mandat, qui ne demande rien, qui ne connais guère la jungle politicienne ? »
La voilà poussée en pleine lumière et, miracle incroyable, toutes les gauches sont d’accord pour l’installer à Matignon. Après Léon Blum et François Mitterrand, la gauche unie s’appelle Lucie Castets. On l’acclame, on lui joue Lucy in the Sky, oui mais c’est qui ? Énarque, économiste, militante des services publics, ouverte au compromis et toutes gauches compatible. Dans les rédactions, on est partagé, doit-on écrire haut fonctionnaire ou haute fonctionnaire ? Vite fait la voilà médiatisée, la voilà peopolisée, la voilà dézinguée : Lucie et son rouge à lèvres, ce sera juste le tube de l’été, et basta. Matignon, c’était pour de rire, pour le carrosse c’est retour citrouille. Oui mais dans Castets, il y a castagne, la gauche ne l’a pas lâchée et pour la suite elle est très décidée. Mais décidée à quoi ? Dialogue avec Laurence De Cock.
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Il est bien sûr l’un des plus grands poètes palestiniens, mais aussi sans doute le poète de langue arabe le plus lu dans le monde, dont la renommée est toujours internationale, quinze ans après sa disparition.
Riche de dizaines de publications en vers mais aussi en prose, son œuvre a été traduite dans le monde entier. C’est l’ancien ambassadeur de la Palestine auprès de l’UNESCO, Elias Sanbar, qui l’a traduit en français. Si on ne mesure pas forcément en France toute l’importance de Mahmoud Darwich, c’est que les Français n’accordent plus à la poésie la place qu’elle occupe toujours dans le monde arabe, et singulièrement Pour les Palestiniens. Comme l’explique Elias Sanbar, « dans la culture palestinienne, dans la mesure où c’est un peuple qui est privé de ses lieux, il peut habiter le poème. C’est pour cela que par exemple quand l’exil commence en 1948, les gens transportent avec eux des poèmes, et pas des romans ».
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Mets ton plus bel entonnoir, on va chez les dingues, les barjots, les cinglés, les déjantés, les détraqués, les siphonnés, les mabouls, les marteaux, les sinocs… On peut remplir un dictionnaire avec tous les noms de ces allumés qui travaillent du chapeau. Des noms d’oiseaux, bien sûr, ils étaient dans la lune bien avant toutes ces moches fusées.
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On tue Nasrallah, on oublie Gaza, on danse à Tel Aviv, Nétanyahou exulte, BHL est de retour. Joe Biden pleure les enfants morts et fait l’indigné tout en livrant ses bombes à Bibi. Bonne nouvelle aussi pour le RN et Marine Le Pen, ses amis d’extrême droite remportent les législatives en Autriche. Le FPÖ (Parti de la liberté d’Autriche ) – qui soutient Israël – est un parti franchement nazi. Son leader Herbert Kickl veut devenir le VOLKSKANZLER, le « chancelier du peuple », titre emprunté à un autre autrichien, Adolf Hitler.
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En 1995, la chanteuse Catherine Ribeiro créait au théâtre des Bouffes du Nord le spectacle « Vivre libre ». Elle y chantait ses propres chansons mais aussi celles d’Aragon, de Barbara, Brel, Ferrat, Ferré, Lluís Llach, Colette Magny, Gérard Manset, Danielle Messia, Anne Sylvestre et même, si vous allez jusqu’à la fin, une surprise à réécouter alors que nous célébrons le 80e anniversaire de la libération de Paris. En hommage, nous vous proposons de découvrir ce concert :
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À quoi ressemble aujourd’hui un cours d’histoire en pédagogie Freinet ? Ce sont sans doute les enfants qui en parlent le mieux. Rencontre avec des élèves de CM2 et leur prof Magali.
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« Il y a toujours un groupe qui symbolise le rejet en fonction de la conjoncture du moment », dit l’historien Gérard Noiriel. Il est urgent de démonter le système de cet apartheid dont les électeurs du RN sont souvent eux-mêmes les premières victimes.