Enregistrement public de l’émission mardi 10 avril au Lieu-Dit

De grands soirs en petits matins

Le

Rendez-vous mardi prochain au Lieu-Dit, à 19h, pour un enregistrement public de l’émission (entrée libre dans la limite des places disponibles), avec, entre autres, autour de Daniel Mermet :

- Ludivine Bantigny, historienne, auteure du livre 1968. De grands soirs en petits matins, Seuil, 2018

- Valérie Foissey, aide-soignante au Centre hospitalier universitaire de Rouen, membre de la CGT et de Lutte Ouvrière

- Raphaël, étudiant en 2e année à Tolbiac en double licence Histoire – Histoire de l’art (actif sur l’occupation de Tolbiac)

- Anasse Kazib, cheminot, aiguilleur de train, délégué SUD rail

Et nous accueillerons également Charlotte, étudiante à Tolbiac... et chanteuse !
C’est elle qui, dans le reportage de Sophie Simonot à Tolbiac, interprète superbement "Ni Dieu Ni Maitre" de Léo Ferré.

>>>>>> Rendez-vous mardi 10 avril à 19h au Lieu-Dit, 6 rue Sorbier Paris XXème. Entrée libre dans la limite des places disponibles.

Une émission à retrouver ensuite sur le site Là-bas si j’y suis.

L'équipe de Là-bas attend vos messages dans les commentaires et sur le répondeur au 01 85 08 37 37 !

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Dans les livres

  • 1968, de grands soirs en petits matins

    Des livres sur mai 68, il n’en manque pas pour célébrer les cinquante ans. Celui de Ludivine Bantigny s’appuie, non pas sur des récits nostalgiques, des souvenirs individuels à la véracité historique plus ou moins discutable, mais sur des archives puisées dans toute la France et pour beaucoup inédites. Cette historienne, maître de conférence à l’université de Rouen Normandie s’attache à la grande diversité des protagonistes - ouvriers, étudiants, militants mais aussi danseurs, médecins, paysans, artisans, poètes d’un jour, et les femmes à parts égales avec les hommes -. Elle s’intéresse aussi à « l’autre côté » : c’est-à-dire à la police, au pouvoir et aux oppositions à la contestation. Son livre a le mérite de revenir précisément aux faits, aux projets, à l’inventivité, à tout ce qui a été imaginé, de grand et de petit, pour réellement « changer la vie ». C’était tout, sauf… Lire la suite

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Une sélection :

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Pour George ORWELL, c’est un point fondamental. « Ce qu’il y a d’effrayant dans le totalitarisme, ce n’est pas qu’il commette des atrocités, mais qu’il s’attaque au concept de vérité objective : il prétend contrôler le passé aussi bien que l’avenir. »

Le 31 mai 2010, à l’occasion du colloque « Rationalité, vérité et démocratie : Bertrand Russell, George Orwell, Noam Chomsky » organisé par Jacques Bouveresse au Collège de France, Daniel Mermet s’entretenait avec Jacques Bouveresse et Noam Chomsky sur le thème du concept de vérité. Y a-t-il « une vérité objective, en dehors de nous, quelque chose qui est à découvrir et non qu’on peut fabriquer selon les besoins du moment » ?

Avec le texte intégral de cette rencontre, nous vous proposons la vidéo réalisée par les Mutins de Pangée.

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À la cour du président des riches, on s’interroge. Qui sont ces gueux sous nos fenêtres ? Pourquoi ces brailleries et ce grabuge alors que nous faisons tout pour leur bien ? Du côté des experts médiatiques et des voyantes ultra-lucides, on se demande quelles sont ces gens-là , des beaufs racistes et violents ou juste des ploucs avec leurs bagnoles qui puent ? Des fachos ou des fachés ? Faut-il les lécher ou les lyncher ?