Les trente ans de Là-bas en vidéo ! Deuxième partie

Là-bas si j’y suis fête ses 30 ans (2/3) Abonnés

1

Le

Merci, merci, pour cette superbe fête modeste et géniale des trente ans de Là-bas. Nous voilà regonflés à bloc pour les castagnes à venir comme pour les baisers dans l’herbe tendre.

Pour les milliers d’abonnés qui n’ont pas pu venir mais qui rendent tout ça possible, pour les AMG de l’étranger qui ne pouvaient pas se déplacer, pour tous ceux qui étaient trop occupés à danser, à chanter et à manger les petits plats de la Confédé, voici la deuxième partie vidéo de cette grande soirée qui a réuni 900 personnes, un mardi soir de grève, le 21 janvier dernier :

Deuxième partie :

Dans cette deuxième partie, l’historienne Mathilde Larrère et les révolutions en chantant, François Ruffin et ses années Là-bas, Gérard Filoche et le droit au bonheur à la retraite, avec les incontournables Mouss & Hakim des Motivés qui mettent l’ambiance : « Y’a pas d’arrangements, y’a pas d’arrangements » !

Les intervenants :

- Mathilde Larrère, Historienne des révolutions et de la citoyenneté
- François Ruffin, journaliste, député, ancien reporter à Là-bas si j’y suis
- Gérard Filoche, ancien inspecteur du travail, membre fondateur de la Gauche Démocratique & Social


Les musiciens :

- La Fanfare Tarace Boulba
- Mouss & Hakim
- Roch Havet et Guillaume Farley

La troisième partie arrive en début de semaine prochaine !


Depuis 5 ans sur internet, Là-bas ne vit que grâce à ses abonnés. Pas de publicité, pas de subventions, pas d’actionnaires, les cotisations des abonnés sont notre seule source de revenus. Pour les 30 ans de Là-bas si j’y suis, rejoignez les 25 000 abonnés modestes et géniaux, profitez de l’offre éphémère « Spéciale 30 ans » !

Abonnez-vous pour accéder à tous nos contenus, c’est très simple !

Depuis 1989 à la radio, Là-bas si j’y suis se développe avec succès aujourd’hui sur le net. En vous abonnant vous soutenez une manière de voir, critique et indépendante. L’information a un prix, celui de se donner les moyens de réaliser des émissions et des reportages de qualité. C’est le prix de notre travail. C’est aussi le prix de notre indépendance, pour ne pas être soumis financièrement aux annonceurs, aux subventions publiques ou aux pouvoirs financiers.

Je m'abonne J'offre un abonnement

Déjà abonné.e ?
Identifiez-vous

présentation : Daniel Mermet et Jérémie Younes
son : Jérôme Chélius, Sylvain Richard et Alexandre Lambert avec Audiolight
vidéo : Jonathan Duong, Kévin Accart, Aurélie Martin, Alexis Martzolf et Eric Vromont avec Loca Image
montage : Pascal Montagna et Kévin Accart
préparation : Elodie Couratier, Marianne Khalili Roméo, Vladimir Slonska-Malvaud, Dillah Teibi, Gaylord Van Wymeersch, Sophie Simonot, Cécile Frey avec Collectif Prod et la complicité de Laurence Boffenda, Dany Bruet et Alain Fayard.

Merci au Centquatre-Paris, à la Confédération Paysanne et à Emmaüs et Option Meuble pour le mobilier.

L'équipe de Là-bas attend vos messages dans les commentaires et sur le répondeur au 01 85 08 37 37 !

Sur notre site

À voir

À lire

C'est vous qui le dites…Vos messages choisis par l'équipe

Les bouquins de LÀ-BASLire délivre

  • Voir

    La bibliothèque de LÀ-BAS. Des perles, des classiques, des découvertes, des outils, des bombes, des raretés, des bouquins soigneusement choisis par l’équipe. Lire délivre...

    Vos avis et conseils sont bienvenus !

Dernières publis

Une sélection :

Hommage à Pierre Seel Accès libreÉcouter

Le

Hommage à Pierre SEEL, récemment disparu, déporté au camp du Struhoff en Alsace parce que homosexuel.
Les homosexuels devaient porter un triangle rose, on estime que 10 000 à 15 000 personnes ont été tuées par les nazis selon lesquels l’homosexualité représentait un danger pour l’homme.

Trop longtemps abusés, invisibles et tondus jusqu’à l’os. Un reportage de Dillah Teibi MAIS QUI SONT CES GUEUX EN JAUNE ? AbonnésÉcouter

Le

À la cour du président des riches, on s’interroge. Qui sont ces gueux sous nos fenêtres ? Pourquoi ces brailleries et ce grabuge alors que nous faisons tout pour leur bien ? Du côté des experts médiatiques et des voyantes ultra-lucides, on se demande quelles sont ces gens-là , des beaufs racistes et violents ou juste des ploucs avec leurs bagnoles qui puent ? Des fachos ou des fachés ? Faut-il les lécher ou les lyncher ?

Chaque vendredi, la revue de presse indispensable ! Avez-vous reconnu ce dangereux vandale ? AbonnésVoir

Le

Amies abonnées, amis abonnés, eh oui, c’est bien lui ! Bernard Henri-Lévy a un pouvoir de résurrection étonnant. Alors qu’on pensait que ses multiples postures et impostures avaient définitivement fait éclater la baudruche Bernard-Henri, force est de constater que le ridicule ne viendra jamais à bout de BHL. Preuve en est : alors qu’on le croyait définitivement décrédibilisé et rangé sur l’étagère des Tartuffe démasqués, la guerre en Ukraine est une occasion inespérée pour l’homme d’affaires de se remettre en selle. Pourquoi le ridicule ne tue pas BHL ? Réponse en cinq moments d’anthologie classés du plus ridicule à l’encore plus ridicule par Jonathan Duong.