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Pour bien démarrer 2017, commencez par retrouver nos émissions les plus marquantes de l’année 2016 :

« 09 MARS 2016, ON VAUT MIEUX QUE ÇA ! », numéro spécial contre la Loi Travail, un grand reportage radio [1h43]

« L’INTELLO ET L’OUVRIER. Débat Frédéric LORDON et Jean-Pierre MERCIER », vers les matins qui chantent au bout de la Nuit Debout [VIDÉO : 40’18]

« Thérèse Clerc, les derniers jours », un ultime entretien d’Anaëlle VERZAUX avec Thérèse CLERC [RADIO : 16’26]

« Le chômage tue 100 fois plus que le terrorisme », comment ils ont inventé le chômage [REPORTAGE VIDÉO : 24’47]

« Jacques PRÉVERT : « Étranges étrangers », chanté par André MINVIELLE », #LHumaSiJYSuis 2016 [RADIO 24’59 + extrait VIDÉO]

« Jean Ziegler, l’intégration subversive » [RADIO : 39’36]

« Apprenez la langue de l’adversaire avec Olivier BESANCENOT », un cours d’autodéfense intellectuelle

« MOI et MITTERRAND, une révélation, un document explosif », une rencontre avec Hervé LE TELLIER [VIDÉO 12’45]

« Annick COUPÉ, responsable irresponsable » [RADIO 46’11]

« Les crânes oubliés de la conquête de l’Algérie », le terrorisme a une histoire [reportage RADIO : 40’41]

« Au temps de l’esclavage, ils auraient négocié le poids des chaînes », un TEXTE À L’APPUI de Daniel MERMET

« Un « mélange de salafistes et de dealers de drogue » (1/3) », un reportage de Dillah TEIBI aux Francs-Moisins (Saint-Denis) [RADIO : 46’18]


Pauline BOULET attend vos messages sur le répondeur de Là-bas si j’y suis au 01 85 08 37 37.

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Une sélection :

La sociologue publie « Les riches contre la planète. Violence oligarchique et chaos climatique ». Entretien Monique Pinçon-Charlot : « Dans tous les domaines de l’activité économique et sociale, les capitalistes ont toujours, toujours, toujours des longueurs d’avance sur nous » AbonnésVoir

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La sociologue Monique Pinçon-Charlot, qui a longtemps analysé avec son mari Michel Pinçon les mécanismes de la domination oligarchique, publie un nouveau livre sur le chaos climatique et elle n’y va pas avec le dos de la cuiller en bambou. Entretien.

Les riches détruisent la planète, comme l’écrivait le journaliste Hervé Kempf. On le sait. Ils le savent. Ils le savent même depuis bien longtemps ! Le nouveau livre de Monique Pinçon-Charlot risque de ne pas plaire à tout le monde. Dans Les riches contre la planète, elle raconte comment une poignée de milliardaires est en train d’accumuler des profits pharaoniques en détruisant la nature, les animaux, les êtres humains et finalement toute la planète, menacée par les émissions de gaz à effet de serre.

Mais surtout, la sociologue analyse comment l’oligarchie, qui a toujours eu une longueur d’avance, organise, encadre et finance sa propre critique et ses contestataires. Histoire que l’écologie ne soit pas un frein au business, mais au contraire l’opportunité de développer de nouveaux marchés selon une « stratégie du choc » décrite par la canadienne Naomi Klein. Le capitalisme fossile est mort ? Vive le capitalisme vert !

Alors que faire ? Arrêter de parler d’« anthropocène », ce n’est pas l’humanité tout entière qui est responsable du dérèglement climatique, mais de « capitalocène », la prédation du vivant étant consciemment exercée par quelques capitalistes des pays les plus riches. Ensuite comprendre ce que masquent les expressions « transition écologique  », « neutralité carbone » ou encore « développement durable » forgées par le capitalisme vert. Et surtout lire d’urgence le livre de Monique Pinçon-Charlot pour prendre conscience que les mécanismes de la domination oligarchique s’immiscent partout, y compris là où on ne les attendait pas…

Alain Ruscio publie « La première guerre d’Algérie. Une histoire de conquête et de résistance, 1830-1852 » aux éditions La Découverte La première guerre d’Algérie (1830-1852) AbonnésVoir

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« Par milliers, les Algériennes et les Algériens furent humiliés, spoliés, déplacés, enfumés, massacrés, décapités... » Il faut connaître cette époque pour comprendre la suite de la colonisation et son dénouement tragique. Dénouement que certains n’acceptent pas et qui le ravivent comme une amputation. Pourtant recherches, témoignages et reportages au cours des dernières années semblaient avoir apporté les moyens d’un apaisement des mémoires. Mais une extrême droite revancharde et négationiste, dotée de forts moyens médiatiques, gagne du terrain. Face à la concurrence des rentes mémorielles, il est donc nécessaire de mieux connaître cette sombre sanglante histoire. Aussi ROSA MOUSSAOUI interroge ALAIN RUSCIO, un des meilleurs historiens du fait colonial qui publie une somme passionnante à La Découverte.

Frédéric LORDON publie« Figures du communisme » aux éditions La Fabrique. Un entretien en deux parties Frédéric Lordon, le capitalisme nous détruit, détruisons le capitalisme (2/2) AbonnésVoir

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Depuis longtemps on se répète : « on sait pas ce qu’on veut, mais on sait ce qu’on veut pas ». Si Lordon reprend la formule, c’est tout d’abord pour dire que ce qu’on ne veut pas, c’est le capitalisme. Nous n’avons plus le choix, c’est lui ou nous, il n’y a plus d’arrangement possible. Comme dit un AMG, « repeindre le capitalisme en noir ne suffit plus ». Oui, c’est vrai, déplorer, dénoncer, condamner, s’indigner à longueur d’année nous conduit à l’impuissance et à la résignation, c’est-à-dire là où nous sommes aujourd’hui.