Le combat continue. 10 propositions pour lutter contre la pauvreté

« Les hommes politiques ne connaissent la misère que par les statistiques. On ne pleure pas devant les chiffres » disait l’abbé Pierre. Depuis plus de soixante-dix ans Emmaüs essaie, non seulement d’aider et soutenir les plus en difficulté, mais de convaincre les pouvoirs publics fassent quelque chose contre la pauvreté. Pour leur mâcher le travail, Emmaüs France leur donne (à eux, mais aussi à nous) des idées prêtes à l’emploi. Dix propositions publiées par ce livre qui, chiffres à l’appui dresse à nouveau, encore et toujours, le terrible constat de la misère en France. Pris au hasard des pages, 30 000 enfants vivent dans la misère. 9 millions de personnes en France vivent sous le seuil de pauvreté. Thierry Kuhn, le Président d’Emmaüs France d’espérer que « les causes de l’exclusion soit enfin une priorité pour le quinquennat à venir et pour la société toute entière ». He has a dream…

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Une série d’histoires dans les luttes pour l’émancipation, racontées par Olivier Besancenot La révolution des œillets : quand un coup d’État militaire met fin à une dictature AbonnésVoir

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Le 25 avril 1974, peu après minuit, la radio portugaise diffuse la chanson de Zeca Afonso, Grândola, Vila Morena. Pour ses auditeurs avertis, c’est le signe du déclenchement du coup d’État qu’on retiendra comme la « révolution des œillets », qui mit fin à 41 années de dictature. De 1932 à 1968, l’État nouveau (« Estado Novo »), ce fascisme à la portuguaise, fut dirigé par António de Oliveira Salazar, un dictateur autoritaire, conservateur, catholique, nationaliste, anti-communiste et colonialiste.

Tchernobyl, c’est notre paradis ! Avec les derniers habitants de la zone interdite Les joyeux fantômes de Tchernobyl Accès libreÉcouter

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Elles préféraient rester dans la zone contaminée plutôt que de quitter leur maison. Des centaines de milliers d’habitants furent évacués de gré ou de force dans une zone de 30 km après la catastrophe du 25 avril 1986. Mais ces quelques femmes avaient voulu rester, malgré dénuement et abandon.

Environ 700 irréductibles, les SAMOSELY, survivaient ainsi dans la zone la plus contaminée par la radioactivité dans le monde, 2 600 km2, devenue aujourd’hui un « parc involontaire » où se développent une faune et une flore étranges, avec toujours ces habitants tenaces depuis trente ans. (...)