Mon ami Dahmer

Dans une petite ville de l’Ohio, non loin de Cleveland, deux ados entrent au collège, se lient d’amitié et termineront leur scolarité ensemble. L’un, Jeffrey Dahmer, deviendra un des plus grand sérial killer américain, surnommé le « cannibale de Milwaukee », le second devenu dessinateur racontera leur histoire dans un roman graphique stupéfiant.
Derf Backderf a mis vingt ans à publier ce récit qui raconte la descente aux enfers de Jeff, que l’auteur décrit comme « un gamin farfelu de 13 ans à l’ado luttant contre les pensées obscures qui le submergent jusqu’au moment fatidique », celui où il commet son premier meurtre. Il y en avouera dix-neuf, sera condamné à 957 ans de prison et sera assassiné dans sa cellule. C’est après sa mort que Derf Backderf se lancera dans cette aventure extraordinaire : raconter avec un dessin en noir et blanc, nous plongeant au fil des pages dans une atmosphère de plus en plus angoissante, l’enfance d’un assassin.

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Une série d’histoires dans les luttes pour l’émancipation, racontées par Olivier Besancenot La révolution des œillets : quand un coup d’État militaire met fin à une dictature AbonnésVoir

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Le 25 avril 1974, peu après minuit, la radio portugaise diffuse la chanson de Zeca Afonso, Grândola, Vila Morena. Pour ses auditeurs avertis, c’est le signe du déclenchement du coup d’État qu’on retiendra comme la « révolution des œillets », qui mit fin à 41 années de dictature. De 1932 à 1968, l’État nouveau (« Estado Novo »), ce fascisme à la portuguaise, fut dirigé par António de Oliveira Salazar, un dictateur autoritaire, conservateur, catholique, nationaliste, anti-communiste et colonialiste.

Tchernobyl, c’est notre paradis ! Avec les derniers habitants de la zone interdite Les joyeux fantômes de Tchernobyl Accès libreÉcouter

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Elles préféraient rester dans la zone contaminée plutôt que de quitter leur maison. Des centaines de milliers d’habitants furent évacués de gré ou de force dans une zone de 30 km après la catastrophe du 25 avril 1986. Mais ces quelques femmes avaient voulu rester, malgré dénuement et abandon.

Environ 700 irréductibles, les SAMOSELY, survivaient ainsi dans la zone la plus contaminée par la radioactivité dans le monde, 2 600 km2, devenue aujourd’hui un « parc involontaire » où se développent une faune et une flore étranges, avec toujours ces habitants tenaces depuis trente ans. (...)