Manif

Tous ensemble, tous ensemble ! Les parcours bastille-république-nation, les slogans, les combats, les charges de CRS, les indignations, les rencontres heureuses et malheureuses… A chacun sa manif, la vôtre, la sienne, la nôtre. Dans cette BD qui raconte l’engagement politique à « hauteur d’homme », vous retrouverez l’ambiance, l’émotion, les coups de matraques et les coups d’apéro. Tout cela dessiné avec humour et tendresse, portés par un trait vif et maîtrisé.

Mathieu Colloghan, Manif, Adespote, Paris, 2017.

Dans nos émissions

  • Un reportage dessiné de Mathieu Colloghan en quatre épisodes

    Justice du pauvre : pauvre justice ! Abonnés

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    Déménagement du Palais de justice de Paris : Mathieu Colloghan a suivi les dernières comparutions immédiates sur l’île de la Cité. Un grand reportage dessiné. Ça y est, le nouveau Palais de justice de Paris a ouvert ses portes. C’est (…)

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    La bibliothèque de LÀ-BAS. Des perles, des classiques, des découvertes, des outils, des bombes, des raretés, des bouquins soigneusement choisis par l’équipe. Lire délivre...

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Une sélection :

Une série d’histoires dans les luttes pour l’émancipation, racontées par Olivier Besancenot La révolution des œillets : quand un coup d’État militaire met fin à une dictature AbonnésVoir

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Le 25 avril 1974, peu après minuit, la radio portugaise diffuse la chanson de Zeca Afonso, Grândola, Vila Morena. Pour ses auditeurs avertis, c’est le signe du déclenchement du coup d’État qu’on retiendra comme la « révolution des œillets », qui mit fin à 41 années de dictature. De 1932 à 1968, l’État nouveau (« Estado Novo »), ce fascisme à la portuguaise, fut dirigé par António de Oliveira Salazar, un dictateur autoritaire, conservateur, catholique, nationaliste, anti-communiste et colonialiste.

Tchernobyl, c’est notre paradis ! Avec les derniers habitants de la zone interdite Les joyeux fantômes de Tchernobyl Accès libreÉcouter

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Elles préféraient rester dans la zone contaminée plutôt que de quitter leur maison. Des centaines de milliers d’habitants furent évacués de gré ou de force dans une zone de 30 km après la catastrophe du 25 avril 1986. Mais ces quelques femmes avaient voulu rester, malgré dénuement et abandon.

Environ 700 irréductibles, les SAMOSELY, survivaient ainsi dans la zone la plus contaminée par la radioactivité dans le monde, 2 600 km2, devenue aujourd’hui un « parc involontaire » où se développent une faune et une flore étranges, avec toujours ces habitants tenaces depuis trente ans. (...)