magnifique reportage et merci à ce monsieur qui dit que les larmes doivent déborder de nos yeux lorsqu’on évoque ce massacre de notre force populaire en ce début du vingtième siècle, car les miennes ne savent pas se tenir au sec dans l’écrin de leurs pupilles et j’ai toujours cru que c’était (…)
Craonne, rose rouge pour Georges