Désolée : les acclamations ponctuant l’intervention de Lordon le 31 mars me dérangent. Faut-il donc toujours un tribun à applaudir ? Laissons la parole aux obscurs, aux sans-grades. N’oublions pas le 2ème couplet de L’Internationale : "Il n’est pas de sauveurs suprêmes. Ni Dieu, ni César, ni tribun. (...)
LORDON NUIT DEBOUT