Jean est dans ma pièce à vivre, j’ai peins son portrait une première fois, de son vivant, on me l’a acheté et j’ai regretté de l’avoir cédé. J’en ai repends un autre en me jurant que je ne le vendrai jamais celui là ! Je croise le regard de Jean tous les jours, il est là, à côté de la fenêtre (…)
Ah, qu’il vienne au moins le temps des cerises !