le" bal du ciment" m’a fait repenser à une histoire que racontait Georges Brassens. Il avait rencontré un algérien qui lui avait dit qu’il était triste parce qu’il aimait beaucoup ses chansons mais il ne comprenait pas pourquoi Brassens parlait "d’un triste bicot" . Il s’agissait vous l’avez (…)
Ah, qu’il vienne au moins le temps des cerises !