Finalement à l’entendre, on dirait vraiment un pauvre petit garçon très malheureux, très très malheureux ; lorsqu’il dit "je vis mon destin", j’ai eu comme un serrement de cœur, face à un enfant qui tente de se persuader que tout va bien, qu’il ne se réveille pas plein d’angoisse chaque matin (…)
LE SOMMEIL DE LA RAISON ENGENDRE DES MONSTRES