C’est à travers le soutien à l’indépendance de l’Algérie que mes parents se sont rencontrés. Mon père était chargé de la transmission des colis de la solidarité aux prisonniers du FLN détenus à Fresnes. Par ailleurs, ses prises de positions publiques lui ont valu le plastiquage de son appartement (à Paris) (...)
Non, rien de rien, non les anciens de l’OAS ne regrettent rien..."