A partir du moment où l’on convient que c’est le travail qui crée la richesse et qu’un pays maître de sa monnaie (banque centrale nationale détenant la dette de l’état)et équilibrant son commerce extérieur n’a pas besoin des marchés de capitaux on peut effectivement dire "que se vayan todos". (…)
Qu’ils s’en aillent tous ! Deuxième partie