Didier Porte a reçu un avertissement jeudi dernier pour sa chronique mettant en scène un Villepin vulgaire (on se souvient de sa façon de voir la France) se défoulant sur un nain posteur vulgaire (cékiki, pov’con). Mais comme la vulgarité est l’apanage des humoristes, comme chacun le sait, c’est (…)
Okinawa, une mémoire suicidée