Hier j’entendais ces allemands qui parlaient de leur desarroi à la tombé du mur, pour y trouver un monde capitaliste qui ne leur plaisait pas non plus. Moi même j’ai vécu la mort de Franco comme une grande joie, mais je me rends compte que le capitalisme furieux que je subis maintenant, n’est (…)
La tombéé du mur et le neolibéralisme.