N’empêche qu’en 86, on était vraiment bien organisés pour continuer la lutte après le projet Devaquet. 68/86 ça sonnait bien pour nous. Je ne sais pas s’il y en a pour témoigner, mais il n’y a eu que la mort de Malik pour nous sécher comme à Gênes en 2001. Même abandon de nos infrastructures (…)
Années 80 : retour en arrière