Le faux triomphe de Macron - commentaires

Le faux triomphe de Macron

super réflexion et je t'assure qu'il m'en a coûté d'entendre de tels propos dans sa bouche ! le dany des années 68 est bien mort, à bas celui qu'il est devenu peu à peu : tu as raison de dire que les propos qu'il tient "passent plus cool" ; lui et son comparse Goupil sont des minables !

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bravo et bien dit ! tu as écrit ce que mes neurones pensent et je crois qu'on va en chier pas mal si on ne bouge pas plus...

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J'ai conscience des inconvénients potentiels des extraits. Voilà pourquoi j'invite à regarder l'intégralité de la série dont cet extrait est issu "L'autre avant-guerre, 1871 - 1914" : https://www.youtube.com/watch?v=d65aVl7s6RA&list=RDd65aVl7s6RA.

Henri Guillemin a fait d'autres séries, parmi lesquelles sur la Commune de Paris, sur le maréchal Pétain homme politique ("L'affaire Pétain"). Voici un site qui les recense : http://gillemin.blogspot.fr/.

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Nous sommes sur le fond assez d'accord, comme vous j'insiste avec un autre langage sur la nécessité de créer des règles pour redonner à tous le pouvoir décisionnel confisqué par cette république bourgeoise et à "ses fondés de pouvoir" dont Macron est sans contest un parangon. Simplement, et c'est l'inconvéniant des extraits, la vidéo de M. Guillemin peut porter à croire au caractère fataliste d'une république. C'est l'unique raison de ma réponse précédente.

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(…) Pour avoir une idée plus concrète de ce qu'est la démocratie réelle et intégrale, on peut aller voir ce que fait l'association Sciences citoyennes (http://sciencescitoyennes.org/) sur les questions qui portent sur les sciences. On peut aussi s'intéresser au modèle du salaire à vie porté par Bernard Friot et le Réseau salariat (https://www.reseau-salariat.info/) pour ce qui concerne la vie économique et le travail. On peut aussi regarder ce reportage sur le village de Marinaleda, en Andalousie : https://www.youtube.com/watch?v=S5Wqtzjyvs8.

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(…) Voilà pourquoi je parlais du concept de République sociale porté par les mouvements révolutionnaires du XIXème siècle en France. Et la démocratie intégrale incluse dans la République sociale, c'est-à-dire appliquée à toutes les sphères de la vie en société, ce n'est absolument pas ce simulacre actuel de démocratie dans lequel tout le pouvoir décisionnel est conféré à des fondés de pouvoir. Il s'agit au contraire d'une véritable démocratie, dans laquelle tout le monde a potentiellement son mot à dire sur la gestion des affaires communes, dans tous les domaines de la vie en société : affaires de la cité, affaires de la vie économique, aménagement du territoire, questions environnementales, orientations de la recherche scientifique et des innovations technologique, etc. Ce n'est pas du tout une éviction des experts ; c'est refuser que les experts aient le monopole de la prise de décision sur toutes les questions qui engagent l'avenir de la société. C'est aussi poser le principe que les experts sont là pour éclairer la prise de décisions… rien de plus. (…)

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(…) Même s'il y a eu des périodes, au XXème siècle, où les institutions sociales contraignaient le pouvoir du capital, le capitalisme est un modèle de société intrinsèquement tourné vers la domination du capital et des puissances de l'argent sur la société. C'est cette tendance qui porte à stimuler le côté prédateur de l'homme. C'est sur les institutions du capitalisme qu'il faut agir si on veut changer les choses en faveur du côté positif de l'homme. Il faut se battre pour l'instauration d'institutions sociales qui ne soient pas capitalistes et qui permettent à la nature positive de l'homme de prendre le dessus sur son côté prédateur. Tout ça est une question de rapport de forces ; sinon, on n'aurait pas besoin de lutter. (…)

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(…) Ce que dit Henri Guillemin dans cette vidéo n'est en rien une sentence condamnant définitivement le régime républicain. M. Guillemin décrit les motivations des personnes qui ont milité, à la fin du XIXème siècle, pour l'instauration pérenne de la république. Il décrit aussi le modèle de société pour lequel ces personnes se sont battues. Et il faut reconnaître que ce sont ces personnes qui ont réussi à imposer leur modèle société et à mettre en place les institutions sociales permettant à leur modèle de s'incarner dans la réalité et donnant au capital le pouvoir sur la société toute entière. On ne peut pas nier que ce que décrit M. Guillemin a encore des répercussions de nos jours, même si les formes sont très différentes. (…)

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Dans mon propos, il n'a jamais été question de quête du paradis. Mon propos n'est en rien fataliste.
Je ne suis absolument pas d'accord que l'humanité est la même quel que soit l'environnement dans lequel elle évolue. « L'homme est soit un loup, soit un dieu pour l'homme », dixit Spinoza. C'est l'ordre social, les institutions sociales, qui font que l'homme est ou plus un loup, ou plus un dieu pour lui-même. C'est donc sur les institutions sociales qu'il faut ambitionner d'agir pour changer les choses et pour que l'homme soit plus un dieu pour lui-même. Lutter pour des principes est essentiel, mais cette lutte sera vaine si elle n'ambitionne pas de mettre en place des institutions permettant à ces principes de s'incarner dans la réalité. Il n'y a rien de plus démoralisant et démobilisateur que de de battre pour quelque chose de vain. (…)

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Héhé yoyopolo ! J'ai souvent lu vos interventions sur MDP. Moi, j'y officiais sous le pseudo Grietick. Je me suis également désabonné après le 2ème tour. (quelle mascarade que le récent "chat" sur MDP et Mélenchon !)
J'étais déjà abonné ici, au monde diplo...alors pourquoi continuer à donner mes sous à MédiaP...S ?

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Merci, j'ai, grâce à votre aide, pu visionner ce que dit avec beaucoup de justesse M. Guillemin. Je reste malgré tout persuadé qu'il n'y a de fatalité en rien. Tout réside dans la confiscation des pouvoirs par la finance. L'enjeu se situe donc au niveau de la constitution. Il s'agit bien de comprendre que le pouvoir s'exerce par ceux qui en ont les outils : l'argent bien sur mais aussi l'armée et le consentement publique. Toutes les dites démocraties sont grosso modo sur le même modèle et mon reproche sur ce genre de sentence condamnant les républiques me gênent dans le sens où elle rendent vaines à l'avance toute lutte pour la justice sociale.
La démocratie n'est qu'un chemin, ce n'est pas un lieu précis. Le paradis n'existant pas, nous sommes obligés de toujours lutter pour le progrès social et nous le serons toujours. L'humanité reste la même malgré les époques qui passent comme les décors.
Pour illustrer mon propos, ces étoiles gravées sur nos frontons sont des astres où nous ne poserons jamais les pieds mais les perdre de vue, c'est l'assurance de perdre la boussole et se perdre.

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Le lien fonctionne ; pour voir la vidéo, il faut cliquer sur le lien juste en dessous de l'image.

Je pense qu'il y avait, dans les mouvements révolutionnaires français des XVIIIème et XIXème siècles, un horizon plus élevé que les simples principes inscrits sur le fronton des bâtiments publics. Cet horizon, c'était le République sociale, qui est revenu à chaque épisode révolutionnaire, en 1848 et en 1871. La République sociale, c'est la démocratie appliquée à toutes les sphères de la vie en société : à la sphère politique (nationale et locale), bien sûr, mais à la sphère économique aussi. C'est Frédéric Lordon qui en parle très bien dans cet article (https://www.monde-diplomatique.fr/2016/03/LORDON/54925) ou dans cet entretien (Partie 1 : https://www.youtube.com/watch?v=JKdgcHoxJUg — Partie 2 : https://www.youtube.com/watch?v=QOLuetDmibo). Je suis d'accord qu'il faut lutter pour elle.

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Le lien ne fonctionne pas mais pour avoir une connaissance succinte du travail de M. Guillemin qui tend à dire que la république française est une république bourgeoise, issue de la victoire des versaillais sur la commune, basée sur le mensonge démocratique constant, je ne peux qu'y souscrire. Pour autant, le rêve est-il mort ou la route initiée par les révolutionnaires de 1789 a-t-elle encore une signification ?
Ils ont inscrits trois mots qui sont inscrits sur les frontons de nos batiments administratifs comme trois étoiles qui fixent un cap pour une destination certes pas encore atteinte. Renoncer à cette utopie, c'est le même réflexe que connurent les marins de Christophe Colomb qui auraient, selon leur volonté, rebroussé chemin si Colomb n'avait tenu bon tant le doute les tenaillait. Une révolution commence un jour et ne finit jamais. Perdre de vue ces trois étoiles et c'est nous qui sommes perdus et le réflexe de rentrer au port de départ n'aboutit qu'à des déceptions. C'est donc à nous de lutter sans discontinuer pour influer sur nos évolutions et ce qui fut n'est jamais une fatalité.
Pandore a ouvert la boite à tous les maux mais est resté l'espoir. A nous de ne pas le tuer et de maintenir le cap.

Le faux triomphe de Macron

Merci,
Cette démonstration de Henri Guillemin allant à l'essentiel est magistrale, sans fioritures et langage de bois. Un Historien digne de son art !

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Réaction au message de Philippe Pierpont

Connaissez-vous l'historien français Henri Guillemin ?
Il a fait un certain nombre séries d'exposés pour la télévision suisse sur différentes périodes de l'histoire de France.
Je voulais seulement apporter cet extrait sur les motivations de ceux qui ont voulu le régime républicain à la fin du XIXème siècle, parmi lesquels Adolphe Tiers (extrait de la série "L'autre avant-guerre, 1871 - 1914").
Tout y est dit !
(Pour plus de détails, regarder la série "L'autre avant-guerre, 1871 - 1914")

Henri Guillemin sur la république, la monarchie et Adolphe Thiers
par H HKRNKE

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Merci une fois de plus pour cette très bonne chronique ; je suis seulement un peu surprise que vous vous étonniez (ou prétendez ?) par l'absence de critique dans les grands média sur cette élection.
Depuis le début, ils nous ont assomé et lavé le cerveau avec Macron ; ils ont réussi à le faire élire, pourquoi iraient-ils ensuite dire que les Français ne sont pas si contents ?? Ils nous gardent bien sages comme leurs petits moutons...
Meeeeeeeeh

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Dans la revue "Pour la Science" - n° 414 - Avril 2012. Lire un excellent article de Michel Balinski et Rida Laraki intitulé : "Ne votez pas, jugez" explique que "Le scrutin majoritaire usuel souffre de graves défauts. Un mode de scrutin nommé jugement majoritaire, qui consiste à évaluer tous les candidats à une élection selon une grille de valeurs commune, éviterait ces écueils et respecterait l'opinion de l'électorat"

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Très bonne chronique, c'est précis et parfaitement démontré.
Ce qui est dramatique c'est que les personnes qui gèrent les affaires ignorent ce genre de réquisitoire car même si elles se retrouvaient au pouvoir suite à une élection qui ne mobiliserait que 4 % de votants, ça leur suffirait largement.

De plus un des buts des nouvelles structures de pouvoir ultra-étatiques comme l'UE est justement de se passer de l'avis des peuples qui sont décris comme stupides et irrationnels par nos classes dirigeantes.

Il ne faut pas oublier qu'après le référendum de 2005 le curé cohn bendit affirmait, ni plus ni moins, qu‘il fallait arrêter de demander l'avis des populations pour les choix d'importance, parce que les gens se moquent des affaires de constitution et votent mal. Il ajoutait qu'il fallait arrêter de se mentir et analyser la situation ; les peuples sont des enfants, qui ne comprennent rien à rien mais aiment transgresser et votent n'importe comment…
La différence entre un cohn bendit et un madelin par exemple c'est que dany le bleu arrive à tenir ce genre de propos ultra-réactionnaire en ayant l'air sympa. Les classes dirigeantes ont besoin de ce genre de personnages qui font passer leurs idées chez les gens qui s'intéressent peu à la politique mais se pensent de gauche « cool », ils sont assez nombreux et ont tous voté macron comme un seul homme.

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Je me demande jusqu'à quand le système médiatique à l'intention de faire du déni d'analyse. La négation de la réalité pousse à la folie...Accrochez-vous les gars ! ça va tanguer !

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Félicitations pour la démonstration. Une erreur cependant : les blancs et nuls font au total près de 11,50 % et non, comme comme vous l'indiquez sur l'histogramme 8,6%, ce qui, non seulement ne remet pas en question votre analyse, mais bien au contraire la renforce.

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Il faudrait rajouter à cette démonstration imparable que 60 % des électeurs de Macron n'ont pas voté pour lui mais pour faire barrage à la facho ripolinée Mme Le Pen, soit 40% de 43,6,%, soit 17,44 % du corps électoral qui a vraiment voulu approuver le projet de Macron. Ce petit baron libéral a bénéficié d'un concours de circonstances (l'affaire Fillon et le tir de barrage anti Mélenchon la dernière semaine) et du soutien du système politico-médiatique pour se retrouver à la barre et pour appliquer une purge libérale et une cure d'austérité sans précédent. Il n'a aucune légitimité du peuple, seulement d'un système électoral inique et d'un "vote obligé" anti Le Pen. Nous ne cèderons rien.

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A Philippe Pierpont,
Bonjour Philipe, je suis content de te retrouver içi. Je commentais sous le pseudo " yoyopolo " sur MDP que j'ai quitté il y a peu. Prière de me répondre sur yoyopolo@outlook.com. Amitiés.

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A entendre un sondage donné ce matin sur France culture, il semble que Macron ne dispose pas "d'état de grâce" comme il est coutume de dire pour les nouveaux intronisés. Seul 46% des sondés déclarent être satisfaits du personnage. C'est moins que Sarkosy ou Hollande au même moment.
Il ne faut jamais oublié que les politiques néo-libérales n'ont jamais connu l'adhésion populaire. Le premier vote le signifiant fut celui du référendum à la constitution de 2005. Depuis chaque gouvernement à du procéder par décret ou 49/3 ou encore en jouant sur le mensonge majoritaire. Macron risque donc de n'avoir d'autre choix que de connaitre un rejet populaire comme l'ont connu avant lui Sarko et Hollande et nul doute que la classe politique saura lui tirer le tapis sous les pieds pour abattre ce Rastignac.
L'illusion de la nouveauté finit très vite par se fondre dans la routine et mis à part cet argument de vente, que lui restera-t-il pour convaincre la population qui s'appauvrira avec certitude comme en Allemagne c'est le cas pour les travailleurs au profit d'une minorité qui prétend être l'économie du pays.
Je ne sais pas pourquoi mais quelque chose me dit qu'une crise politique se profile à l'horizon mais après tout, nous ne sommes plus à une crise près.

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Merci à vous qui dites tout haut ce que beaucoup ne disent pas même tout bas pour X raisons. Il est vrai qu'étant chômeur de très longue durée due à un handicap, j'ai peu de relations sociales, je pensais au final ne pas être "normal" de penser ce que je pense, alors vous lire est pour moi d'un très grand réconfort. Il y a belle lurette que je ne crois plus en cette "démocratie dont on nous rebat les oreilles pour ainsi dire quotidiennement !
Même si je me délecte de vous lire et de vous écouter, il est navrant d'en être arrivé à ce stade d'escroquerie politique. Qui vivra, verra !!

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Vous avez là, explicité de manière limpide, pourquoi le système électoral permet de gouverner sur le mensonge majoritaire. Si les votes blancs étaient pris en compte, nul doute que peu de présidents pourraient prétendre à une légitimité réelle car à part Chirac en 2002 pour les raisons que l'on connait n'a atteint la majorité absolue du corps électoral.
C'est le mensonge d'une constitution entretenue par une classe politique, relayé par les médias "institutionnels" qui a permis à une minorité de se maintenir au pouvoir et Macron, retournant le piège contre ceux qui en bénéficiaient jusqu'alors vient seulement de réaliser par le même subterfuge qu'eux une révolution de palais. Il va donc installer ses comparses pour perpétuer les mêmes pratiques sur la base du même mensonge à son bénéfice et à la classe pour laquelle il officie.
Il en ressort qu'une majorité est quasi impossible dans ce système et qu'il ne représente démocratiquement pas grand chose. Voilà pourquoi il est urgent de faire comprendre que cette 5ème république pose problème et n'est qu'une démocratie finalement censitaire, permettant d'avoir l'aspect républicain pour assoir une nouvelle féodalité industrielle et financière qui ne vise qu'au servage rebaptisé modernité et compétitivité.

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Excellente chronique , ... mais qui pouvait en douter ?

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Excellent comme toujours ! Merci monsieur Dumay, je suis certain que ce nouveau quinquennat vous donnera l'occasion de faire d'autres chroniques très prochainement... Personnellement je serai là à m'en satisfaire, en un sens seulement...