PPP, Pim Pam Poum (2) - commentaires PPP, Pim Pam Poum (2) 2013-04-12T10:15:17Z https://la-bas.org/la-bas-magazine/les-archives-radiophoniques/2012-13/fevrier-527/ppp-pim-pam-poum-2#comment36418 2013-04-12T10:15:17Z <p>Merci pour cette émission de qualité</p> PPP, Pim Pam Poum (2) 2013-03-01T19:24:28Z https://la-bas.org/la-bas-magazine/les-archives-radiophoniques/2012-13/fevrier-527/ppp-pim-pam-poum-2#comment35784 2013-03-01T19:24:28Z <p><a href="http://horsjeu.net/partenaires-particuliers/notre-footballologue/le-footbusiness-et-ses-agents-vont-bien-merci/" class="spip_url spip_out auto" rel="nofollow external">http://horsjeu.net/partenaires-particuliers/notre-footballologue/le-footbusiness-et-ses-agents-vont-bien-merci/</a></p> <p>Le PPP dans la construction des stades de football pour l'Euro 2016</p> PPP, Pim Pam Poum (2) 2013-03-01T09:12:12Z https://la-bas.org/la-bas-magazine/les-archives-radiophoniques/2012-13/fevrier-527/ppp-pim-pam-poum-2#comment35777 2013-03-01T09:12:12Z <p>Les mots qui ne trompent pas et me laissent à penser que nous naissons capitalistes (dans le sens où nous en sommes tellement imprégnés qu'il nous en est quasi impossible de penser autrement), de ce docteur psy(je sais plus quoi) sont la preuve :</p> <p>" Il faut cesser ce monde de super profit." ou dans ce sens, insinue par là 2 choses qui nous empêchent à mon humble avis d'aller vers le fameux pas de côté.</p> <p>1 cela laisse entendre que le profit s'il n'est pas exagéré est bon. Pas important si l'exploitation perdure empêchant ainsi l'émancipation de l'homme et la femme.</p> <p>2 que la finance c'est pas bien. Sauf qu'elle a permis la maintien du capitalisme (et de son lot morbide soit exploitation sociale donc, appauvrissement de la terre entre autres) jusque là. Sans elle, l'organisation sociale serait peut être advenue car les inégalités ont été estompées par le système du crédit ou l'argent facile. Bien sûr les plus importants économiquement en ont amassé la plus grande partie en laissant tombé quelques miettes pour le plus grand bonheur des petits entrepreneurs qui se la jouent et favorisent le mythe de la croissance.</p> <p>Bref je pense de plus en plus que malheureusement nous ne réagirons qu'une fois touché le fond. A mon avis on ne le touchera pas de sitôt grâce aux Etats qui ont sauvés les trop gros pour mourir.</p> PPP, Pim Pam Poum (2) 2013-02-28T13:32:39Z https://la-bas.org/la-bas-magazine/les-archives-radiophoniques/2012-13/fevrier-527/ppp-pim-pam-poum-2#comment35769 2013-02-28T13:32:39Z <p>Lu dans Les Echos du 14 février 2013.</p> <p>"Le stade du Mans illustre les risques<br class="autobr"> du financement en PPP. <br class="autobr"> AMÉNAGEMENT</p> <p>Ce stade construit et géré par Vinci a coûté 104 millions. Mais si Le Mans FC fait faillite,le constructeur se retournera<br class="autobr"> vers les collectivités.<br class="autobr"> Emmanuel Guimard -Correspondant à Nantes</p> <p>Le MMArena, stade de football inauguré en 2011,risque de devenir un fardeau pour la ville du Mans et ses contribuables. En cause, les difficultés financières du Mans FC, le club de Ligue 2 résident, qui a encore creusé son déficit. De 3 millions l'été dernier,<br class="autobr"> celui-ci atteint les 7millions d'euros (pour un budget de 11millions). Dès lors, le club est menacé de relégation voire de faillite. Le stade de 25.000 places, un investissement de 104 millions d'euros dans le cadre d'un partenariat public privé(PPP) avec Vinci, deviendra alors une coquille vide. (...)"</p> <p>Si les journalistes de Bernard Arnault s'y mettent aussi, ou va-t-on !!?!</p> le scandale alimentaire....... 2013-02-26T21:06:36Z https://la-bas.org/la-bas-magazine/les-archives-radiophoniques/2012-13/fevrier-527/ppp-pim-pam-poum-2#comment35751 2013-02-26T21:06:36Z <p>qui s'annonce .... ;<br class="autobr"> de Fabrice Nicolino</p> <p>c'est quand que l'on va refuser de servir de cobayes et de s'empoisonner pour engraisser la bourse des malfrats ; ; ;</p> <p><a href="http://www.lemonde.fr/idees/article/2013/02/25/le-scandale-alimentaire-qui-s-annonce_1838402_3232.html" class="spip_url spip_out auto" rel="nofollow external">http://www.lemonde.fr/idees/article/2013/02/25/le-scandale-alimentaire-qui-s-annonce_1838402_3232.html</a></p> <p>fait-on manger, de gré ou de force ?</p> <p>Avant d'essayer de répondre, il est bon d'avoir en tête deux études récentes.</p> <p>La première, publiée en 2011, montre la présence dans le lait - de vache, de chèvre ou d'humain - d'anti-inflammatoires, de bêtabloquants, d'hormones et bien sûr d'antibiotiques. Le lait de vache contient le plus grand nombre de molécules.</p> <p>La seconde, qui date de 2012, est encore plus saisissante. Une équipe de chercheurs a mis au point une technique de détection des résidus dans l'alimentation, en s'appuyant sur la chromatographie et la spectrométrie de masse.</p> <p>Analysant des petits pots pour bébés contenant de la viande, ils y ont découvert des antibiotiques destinés aux animaux, comme la tilmicosine ou la spiramycine, mais aussi des antiparasitaires, comme le levamisole, ou encore des fongicides.</p> <p>Certes à des doses très faibles - en général -, mais, comme on le verra, la question se pose aujourd'hui dans des termes neufs.</p> <p>On remarquera que, dans le scandale en cours, un mot a presque disparu : phénylbutazone.</p> <p>Cet anti-inflammatoire, on le sait, a été retrouvé dans des carcasses de chevaux exportés vers la France.</p> <p>UNE FRAUDE ISOLÉE ?</p> <p>Or la phénylbutazone est un produit dangereux,<br class="autobr"> interdit dans toute viande destinée à la consommation humaine.</p> <p>S'agit-il d'une fraude isolée ?</p> <p>Ou bien, comme certains éléments permettent de l'envisager, d'une pratique tolérée par les autorités de contrôle ?</p> <p>Nul besoin d'une vaste enquête pour avoir une idée de l'incroyable pharmacopée destinée aux animaux d'élevage. La liste des produits autorisés contient de nombreux</p> <p> douvicides (contre des vers parasites),</p> <p>anticoccidiens (parasites de l'intestin),</p> <p> anthelminthiques (vermifuges),</p> <p> hormones,</p> <p> vaccins,</p> <p>neuroleptiques et antibiotiques.</p> <p>Sait-on comment l'oxytétracycline se mélange avec la gonadolibérine chez un poulet ?</p> <p> Comment le flubendazole se marie avec l'azapérone et les prostaglandines PGF2 dans la chair d'un porc ?</p> <p> Le thiabendazole avec le diazinon ou le décoquinate dans le sang d'une bonne vache charolaise ?</p> <p>Aucune étude sur les effets de synergie de ces produits n'est menée. Il n'est pas dit qu'elles seraient possibles.</p> <p>Lorsque c'est le cas, on découvre en tout cas un nouveau monde.<br class="autobr"> Le 3 août 2012, la revue PloS One publiait un travail sur les effets combinés de trois fongicides très employés dans l'agriculture.</p> <p> Leur association provoque des effets inattendus sur les cellules de notre système nerveux central.</p> <p>Commentaire de l'un des auteurs, Claude Reiss : "Des substances réputées sans effet pour la reproduction humaine, non neurotoxiques et non cancérigènes ont, en combinaison, des effets insoupçonnés."</p> <p>Effets insoupçonnés, éventuellement cancérigènes, ouvrant la voie -peut-être - à des maladies neurodégénératives comme Parkinson, la sclérose en plaques ou Alzheimer.</p> <p>Cette découverte est cohérente avec les grands changements en cours dans la toxicologie, qui étudie les substances toxiques.</p> <p>"LA DOSE FAIT LE POISON"</p> <p>Aujourd'hui encore, le principe de base de cette discipline est le Noael (No observed adverse effect level), ou dose sans effet toxique observable. Longtemps avant Noael, son précurseur Paracelse - un magnifique alchimiste du XVIe siècle - résumait à sa façon le paradigme actuel de la toxicologie : "Toutes les choses sont poison, et rien n'est sans poison ; seule la dose fait qu'une chose n'est pas un poison."</p> <p>Phrase-clé que des générations de toxicologues ont résumée dans cette formule : "La dose fait le poison."</p> <p>Mais la connaissance bouscule les idées en apparence les plus solides. Le lourd dossier des perturbateurs endocriniens vient rebattre les cartes de manière spectaculaire.</p> <p>En deux mots, ces substances chimiques imitent les hormones naturelles et désorientent des fonctions essentielles du corps humain, comme la reproduction ou la différenciation sexuelle.</p> <p>Or les perturbateurs agissent à des doses si faibles que l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) a pu conclure, dans un rapport de 2011, que les effets de l'un d'eux, le bisphénol A, étaient avérés à "des doses notablement inférieures aux doses de référence utilisées à des fins réglementaires".</p> <p>Il est certain que ce seul propos marque un tournant. Car du même coup, la dose journalière admissible (DJA) du bisphénol A - sa limite légale - pourrait être divisée par... 2 millions, selon le toxicologue André Cicolella.</p> <p>Le bisphénol A pourrait même "avoir des effets plus importants à très faible niveau d'exposition qu'à haut niveau", ce qui mettrait à bas tout l'édifice.</p> <p>Quel rapport avec cette fraude géante appelée désormais "horsegate" ? C'est on ne peut plus limpide : nul ne sait ce que contient réellement la viande industrielle. Et nul ne veut savoir. Dans la lutte contre l'orgie d'antibiotiques donnés au bétail, le ministère de l'agriculture apparaît comme un Janus biface.</p> <p>D'un côté, des promesses, et, de l'autre, l'inaction. Il lance fin 2011 un plan de réduction "de 25 % en cinq ans de la consommation des antibiotiques destinés aux animaux", mais que n'a-t-il oeuvré auparavant ? Entre 1999 et 2009, l'exposition du bétail à ces médicaments a augmenté de 12,5 %.</p> <p>Certes, le volume global a baissé entre ces deux dates, mais les nouveaux produits sont actifs à des doses plus faibles. La situation s'aggrave, alors que l'antibiorésistance a été repérée dès avant la seconde guerre mondiale.</p> <p>De quoi s'agit-il ? Après un temps court, les bactéries combattues par un antibiotique mutent. Ainsi des sulfamides, introduits en 1936, confrontés dès 1940 à des souches résistantes de bactéries.</p> <p>LES INFECTIONS NOSOCOMIALES</p> <p>Ainsi de la molécule de tétracycline, ainsi du tristement célèbre staphylocoque doré, dont plusieurs souches résistantes ont donné diverses lignées SARM (staphylocoque doré résistant à la méticilline).</p> <p>Le SARM joue un rôle fondamental dans les infections nosocomiales, celles qui surviennent dans les hôpitaux. Bien que des chiffres indiscutables n'existent pas, on pense que les trois quarts des 7 000 à 10 000 décès annuels de ce type en France sont le fait de bactéries résistantes aux antibiotiques, au tout premier rang desquelles le SARM.</p> <p>Des chiffres officiels américains font état de 19 000 morts dans ce pays en 2005, soit davantage que le sida. L'enjeu de santé publique est donc considérable.</p> <p>Et il n'est pas exagéré de parler d'une maladie émergente, dont l'évolution demeure imprévisible. Tout récemment, le professeur David Coleman, spécialiste de la question, a identifié une souche si différente des autres qu'elle ne peut être détectée par les tests existants. Bien qu'elle touche les humains, elle se développe tout d'abord chez des animaux d'élevage, surtout les bovins.</p> <p>Ce n'est guère étonnant, car une autre souche - le CC398 - prolifère depuis des années dans les élevages industriels.</p> <p>L'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) a rendu, en 2010, un avis indiquant que le réservoir du CC398 se trouve chez les bovins, la volaille, mais surtout chez les porcs.</p> <p>Fait inquiétant, le SARM animal est de plus en plus présent dans les infections humaines, et une étude néerlandaise (Voss et al., 2005) établit que les producteurs de porcs sont 760 fois plus touchés que la population générale.</p> <p>Un exemple frappe l'imagination : celui d'un vétérinaire (Nienhoff et al., 2009) qui transmet à son propre chien un SARM animal acquis au contact d'un porc.</p> <p>C'est dans ce contexte de grande inquiétude que l'EFSA lance en 2008 une enquête européenne. Disons franchement qu'elle étonne. Laissons de côté le mystère britannique, qui ne reconnaît aucun cas de SARM animal.</p> <p>L'Espagne, en revanche, a retrouvé la souche CC398 dans 46 % des élevages porcins, l'Italie dans 14 % d'entre eux, l'Allemagne dans 43,5 % et la Belgique dans 40 %. Autrement exprimé, tous nos voisins sont fortement touchés. Mais pas nous.</p> <p>Nos services ne rapportent que 1,9 % d'élevages porcins frappés par le SARM animal, dont tout le monde sait qu'il tue en France un nombre inconnu, mais en toute hypothèse élevé, de malades.</p> <p>Ce pourcentage est peut-être exact, mais il fait penser, mutatis mutandis, à ce nuage de Tchernobyl qui aurait par miracle épargné la France.</p> <p>Il est peut-être exact, mais l'Europe elle-même, par le biais de l'EFSA, a diplomatiquement fait état de sa grande surprise au vu des résultats. Citation du rapport de 2009 : "L'EFSA recommande en outre que de nouvelles études soient réalisées afin d'identifier les raisons justifiant les différences observées au niveau de la prévalence du SARM dans les différents Etats membres."</p> <p>Oui, pourvu que ce pourcentage soit exact, ce qui serait mieux que de jouer avec le feu bactérien. Car laisser flamber le SARM dans les élevages serait autrement plus grave que le tour de passe-passe autour de la viande de cheval.</p> <p>Aucune équipe gouvernementale, depuis cinquante ans, n'a osé ouvrir le dossier infernal de l'élevage industriel et de la folie des antibiotiques. Le moment est peut-être venu.</p> <p>Fabrice Nicolino, enquêteur, chroniqueur et reporter</p> <p>Né en 1955 à Paris, Fabrice Nicolino a travaillé comme enquêteur, chroniqueur ou reporter pour un grand nombre de journaux français, parmi lesquels Géo, Le Canard enchaîné, Politis, Télérama, Terre sauvage, La Croix. Il est l'auteur d'une quinzaine d'ouvrages, dont des livres pour enfants - dernier en date : Ma tata Thérèse (Sarbacane, 2012) - et des essais comme Pesticides, révélations sur un scandale français (Fayard, 2011) et Bidoche : l'industrie de la viande menace le monde (Actes Sud, 2010).</p> PPP, Pim Pam Poum (2) 2013-02-26T21:05:58Z https://la-bas.org/la-bas-magazine/les-archives-radiophoniques/2012-13/fevrier-527/ppp-pim-pam-poum-2#comment35750 2013-02-26T21:05:58Z <p>Connaissez-vous le mécanisme du SLB ? (Sales and lease back) Joyeux acronyme d'inspiration amerlocaine signifiant "je vends puis je re-loue ensuite". Cette entourloupe a été abondamment utilisée par notre Ministre des finances belge (MR, Mouvement Réformateur (?!) c'est-à-dire libéral ultra) sous le prétexte, usé jusqu'à la corde, de la soi-disant impécuniosité de l'Etat, de diminuer les fais de gestion, entretien, etc de bâtiments jusque-là propriétés publiques !<br class="autobr"> Les procédures qui ont abouti à la vente puis à la rédaction des contrats de location de ces bâtiments à la puissance publique ont été tellement opaques qu'elles ont ému même des membres du gouvernenemnt de coalition de cette époque !<br class="autobr"> Ensuite... Rien ! C'est-à-dire qu'aucune évaluation sérieuse n'a jamais confirmé ou infirmé le bien-fondé de cette procédure. Circulez, y'à rien à voir ! Sauf que... des gestionnaires publics un peu plus courageux ont mis en exergue, à leurs risques et périls, la catastrophe budgétaire que ces fumeuses opérations ont généré. Sans que les médias n'accordent la moindre attention à ces révelations -ou si peu-. A moyen terme déjà, il est apparu que l'extrême modicité (sic) des prix de vente fixés, a mettre en parallèle avec les montants, au contraire très élevés, de la location desdits immeubles ont entraîné une perte substantielle en comparaison des coûts qu'aurait engendré le maintien de la gestion publique de ceux-ci !! Le mécanisme du SLB est à rapprocher des PPP que vous avez évoqués. Les conséquences négatives pour les finances publiques sont du même tonneau ! Des intentions et causes quasi similaires entraînant les mêmes effets ! Et ne parlons pas de la médiocrité de l'entretien, confié à des sociétés sous-sous-sous traitantes...!</p> DESINFORMEMONOS ! 2013-02-26T20:40:20Z https://la-bas.org/la-bas-magazine/les-archives-radiophoniques/2012-13/fevrier-527/ppp-pim-pam-poum-2#comment35749 2013-02-26T20:40:20Z <p>le nouvel Desinformemonos est disponible sur le net ;</p> <p>*Desinformémonos 81* <span class="ressource spip_out"><<a href="http://www.desinformemonos.org/" class="spip_url spip_out" rel='nofollow external'>http://www.desinformemonos.org/</a>></span> </p> <p><a href="http://www.desinformemonos.org" class="spip_url spip_out auto" rel="nofollow external">http://www.desinformemonos.org</a></p> <p> <span class="ressource spip_out"><<a href="http://www.desinformemonos.org/" class="spip_url spip_out" rel='nofollow external'>http://www.desinformemonos.org/</a>></span> </p> <p>allez le découvrir ,c'est super et faites le connaître autour de vous,</p> <p> GRACIAS Y SALUDOS .</p> PPP, Pim Pam Poum (2) 2013-02-26T16:31:41Z https://la-bas.org/la-bas-magazine/les-archives-radiophoniques/2012-13/fevrier-527/ppp-pim-pam-poum-2#comment35742 2013-02-26T16:31:41Z <p>Deux excellents reportages. Le partenariat public privé n'est pas une découverte mais une telle démonstration est jubilatoire. Tellement bien que j'ai réécouté. S'il fallait en convaincre encore, voila qui est fait avec talent et efficacité.</p> PPP, Pim Pam Poum (2) 2013-02-26T14:46:43Z https://la-bas.org/la-bas-magazine/les-archives-radiophoniques/2012-13/fevrier-527/ppp-pim-pam-poum-2#comment35740 2013-02-26T14:46:43Z <p>Faudra pas s'étonner que les futures équipes municipales ou régionales n'exproprient ces grands groupes lorsqu'elles seront étranglées par ces contrats...</p>