La saison dorée, deuxième partie - commentaires

La saison dorée, deuxième partie

Je n'en reviens pas de ton émission , cela me fâche d'entendre des gens en laisser d'autre dans leur merde .

Mais je suis encore plus fâché d'entendre des abus de résidents sur d'autre résident étouffé par la direction .

Est ce que j'ai bien entendu ?

Ton émission me met sur le cul , car cela aborde des non-dits insoutenables ...

J'avais lu ou entendu , que durant la première guerre mondiale ,au gré des mouvements de troupe sur le front , des villages ou des maisons étaient occupées alternativement par des allemands et puis par des français .

Les vieilles du village étaient violées alternativement par ceux du camp occupant, au gré des mouvements du front.

La saison dorée, deuxième partie

Le système de syphonage des biens publics vers les fonds de pension est très bien expliqué. Au moment, où se pose la question de financement de l'APA, il est temps de penser à rendre au peuple la gestion de la santé, des hôpitaux, enfin de tout ce qui concerne notre santé à travers un véritable salaire socialisé.

Mais j'ai un point de désaccord profond avec les propos des personnes en grève, c'est l'épisode du "viol". On dénie tout droit à sexualité de ces personnes âgées. Et on parle d'humanité. Rien ne dit qu'il y ait eu "viol". Il est temps de se pencher sur ce sujet qui choque même ceux qui parlent d'humanisation. Celle-ci ne peut se cantonner aux toilettes et aux repas.

élargir la cage, voilà tout !!!!!

Il est absolument indigne de naitre à genoux et de mourir le nez dans la merde. Encore, une fois ce reportage m'inspire que du dégout, de la colère. Un sentiment plutôt banal puisque tout autour de "moi" sent la merde (et le terme est faible).

cependant, je me demande :

Pourquoi l'individu persiste t'il a croire qu'un gouvernement est sa seule planche de salut ?

Pourquoi préférer la vie à la liberté ?

Inutile d'aller bien loin pour trouver les causes de nos maux ; Nul nécéssité d'aller taper sur les flics ou d'incendier le gouvernement.
Cesser simplement de le soutenir et le voilà qui s'écroulera comme un château de cartes.

Toutes ces complaintes, toutes ces belles paroles d'ouvriers aliénés (hormis certaines exceptions), tous ces défilés festifs dans la rue... sont a mon sens une nourriture indispensable à la société de spectacle.

Accompagnées des lumières de notre histoire, prenons les livres pour des armes et allons cueillir ce qui nous a été subtiliser par notre ignorance.
Il serait tant qu'un jour, le peuple s'organise, d'un seul corps, pour enfin discuter de la vacuité de notre existence et de la nécessite de lui donner un sens nobles, digne des lois naturelles qui (seules) nous régissent.

merci.

La saison dorée, deuxième partie

Exploités du berceau au tombeau !
Je crois que je vais en faire une pancarte pour la manifestation de samedi.

La saison dorée, deuxième partie

Quand j'entends ces reportages, je pense à pillage en bande organisée. La mafia ne vit plus dans le secret. Ca doit être ça la droite décomplexée. Mais je pense aussi que chaque esclave trouve son maître.

La saison dorée, deuxième partie

Une fois de plus les actionnaires ont gagnés, et ils gagnent a tous les coups en ce moment... quelle belle epoque pour etre actionnaire et tondre des moutons...

La saison dorée, deuxième partie

Bonjour d'un AMG suisse de Tokyo, et merci pour votre travail qui fait honneur au service public !

Suite aux mouvements de grève en France et à l'émission consacrée aux maisons de retraite, je voudrais vous signaler un reportage complémentaire sur la précarité des retraites dans le "paradis" suisse, intitulé La Roue de l'Infortune.

Si une société se juge à la façon dont on traite ses aînés, comme le dit si bien Daniel, les Suisses et les Français ont de quoi s'inquiéter...

Ici au Japon, il y a aussi de quoi faire des reportages sur le sujet !

La saison dorée, deuxième partie

OK pour dire que les lobbies maison de retraites sont doués pour trouver des fonds... Ils sont aussi très futés pour convaincre les gens qu'il n'y a pas d'alternative à la maison de retraite !
Mais il faudrait aussi souligner l'égoïsme de nombreux baby-boomers qui veulent profiter de leur retraite, voyager, voir leurs petits-enfants, sans avoir leurs vieux parents de 90 ans sur les bras (vieux parents qui n'ont pas voyagé, qui n'avaient pas les moyens mais qui eux ont pris leurs parents en charge alors qu'il n'y avait pas tout le système de soins à domicile)... Ces mêmes baby-boomers qui ne savent pas laisser la place (le pouvoir) aux trentenaires dans le domaine politique.
Il y a aussi le poids social de l'exigence de mobilité géographique : allez bossez à l'autre bout de la France... Faites votre vie ailleurs, et tant pis si vous êtes écartelés dans quarante ans...