Retour en Afghanistan : une heure avec le diable - commentaires

Retour en Afghanistan : une heure avec le diable

Bonjour,
Pourriez-vous me donner les références du titre que vous avez diffusé, aux alentours de 15h15 le 22 septembre 2008.
Merci pour vos émissions !
cordialement,
Fabienne

Retour en Afghanistan : une heure avec le diable

Pourquoi les intégristes auraient-ils le droit plus que les autres de montrer leur culte à tous les passants ?
Citation du chat ( tyran , c'est moi qui rajoute ) Philippe Geluck.

Retour en Afghanistan : une heure avec le diable

Bonjour,
J'étais présent samedi dernier à la manifestation de contestation à l'implication militaire française en Afghanistan, et la lassitude, une fois de plus, a prit le pas sur l'espoir.
L'espoir que je nourrissais de voir une multitude de gens présent pour l'occasion. Nous étions à peine 1000 personnes présentes pour cette manif à Marseille ; que c'est décourageant.
Décourageant de croire qu'il y est des gens, dans ma bonne ville de Marseille ou d'ailleurs, pour qui la guerre est un moyen légitime pour imposer une "démocratie" ou chasser des tyrans ...
Alors pourquoi ne pas faire la guerre en France contre les banquiers, affairistes sans scrupule, lobbyistes de l'armement de l'énergie, maitres d'œuvre d'une convoitise semi camouflée de l'espace public, pilleurs d'Afrique ?
Qui nous protège de ces sali go là ?
Le pouvoir politique ?
Mais non !
La république monachirque demeure où tous les pouvoir dont celui de faire la guerre, ouverte ou secrète (Mitterrand au Rwanda ), sont concentrés entre les mains d'un seul vaut rien.
Et l'on se bousculent au portillon des palais dorés afin d'attirer les bonnes grâces d'un paria chef de clan, (Sarko = représentant officiel du merdef), d'un barbouze talonné.
...Le cortège s'est mis en route au départ du vieux port et remonte la canebière pour tourner, au bout de 100 m, à droite et s'engouffrer dans la rue St féreole, rue commerçante où le salarié en congé réflechit à l'emplette qu'il fera devant les vitrines des magasins.
Rue non ensoleillée en cette fin d'été
C'en est trop ! Je décide de me soustraire du cortège car je suis persuadé que cette manifestation trouveras très très peu d'écho dans cette rue où le commerce abonde et où la principale préoccupation de ses occupants n'est pas de savoir qu'en Afghanistan la guerre fait des centaines de morts civiles par jour, mais quelle marchandise acheter ; le dernier modèle de basquette de chez nike ?,quel hamburger ingurgiter le big mak ou le chikensaispakoi de mac rot ? ou quel tube de carle bruni s'enquérir a virginemegastore .
PS : j'avais écouté en 2006 cet interview Une bonne rediffusion de temps en temps ça aide à mettre sa mémoire à jour

Retour en Afghanistan : une heure avec le diable

En attendant les détails de l'émission, je me dis que je sais pas comment c'est en France cousins et cousines, mais ici au Québec, au beau milieu de notre psychodrame électoral, il fait un soleil comme seul septembre sait nous en offrir.
Et je me dis aussi que c'est une sacré belle journée pour penser à Brassens.
Un 22 septembre « au diable vous partites, et depuis ce temps là, à la date susdite, je mouillais mon mouchoir, en souvenir de vous... »
Pas beau ça les amis ?

Emission du lundi 22 septembre 2008

Cher Daniel Mermet,
J'adore vos émissions, j'aime beaucoup vos reporters, j'apprécie vos commentaires, même lorsque vous partez un peu trop en roue libre, mais je déteste votre tic du "bien évidemment".
Alors lorsque, en plus, vous interrogez un expert qui remplace argumentaires ou informations par ce néant superlatif du discours qui bien souvent impose à l'auditeur un prétendu consensus pour faire l'économie d'une réflexion, je craque !
Si seulement vous parveniez à vous écouter d'une oreille totalement intolérante à ce mot, afin de le chasser définitivement de vos propos, quel bonheur...
Merci néanmoins pour tout, merci à toute l'équipe de là-bas.
Anne Prince