Bonjour à tous,
Nous nous retrouvons samedi 27 mai au restaurant Hannibal, Wiener Straße 69, 10999 Berlin à partir de 14h15.
Nous accueillerons Stéphane Richeux : 45 ans, d’origine bretonne, professeur certifié d’histoire-géographie. Début de carrière à Vaulx-en-Velin.
1997-2003 : enseignant au Lycée Français de Tananarive (Madagascar).
« Depuis 2003, j’enseigne au Lycée Français de Hambourg et pour partie dans l’établissement allemand partenaire. Engagé de 1995 à 2003 au Parti Socialiste, j’ai participé activement à Lyon à la campagne présidentielle de 1995 en faveur de Lionel Jospin. Je n’ai pas renouvelé ma carte à la suite du Congrès de Dijon, François Hollande réélu Secrétaire du PS en 2003. En parallèle, je me suis investi à Madagascar au sein de l’ADFE (notamment Commission des Bourses).
2009-12 : membre du Parti de Gauche. Depuis lors, je me sens citoyen-militant du Front de Gauche et de France Insoumise. Je participe à la campagne de François Lallemand (candidat France Insoumise pour la septième circonscription des Français établis hors de France).
Sur le plan syndical, je suis syndiqué depuis 1996 au Syndicat National des Enseignements du Second degré (SNES). J’ai pris des responsabilités diverses dans le syndicat. Je suis donc devenu syndicaliste. Depuis 2003, je suis responsable de la section SNES de Hambourg, membre élu de la Commission consultative paritaire à Berlin. 2007-2009 : Secrétaire SNES Allemagne. »
Stephane Richeux nous montrera que les médias comme la classe politique utilise aujourd’hui tout un lexique qui contourne le vocable "d’extrême-droite". Il faut en comprendre le sens et revenir à une définition et donc à des caractéristiques : déceler l’ennemi. Ensuite, un passage par la géographie électorale pour montrer qu’au-delà de résultats électoraux, il faut comprendre les structures de fond de la montée de l’extrême droite en Occident au-delà des conjonctures : 4 pays sont choisis : France-Pays-Bas-EU-Allemagne avec un détour par le Brexit. points communs et différences.
Tout ce travail pour montrer que Macron et ses choix ne feront pas reculer l’extrême droite et que faire ?
A samedi,
Jérôme