Les rendez-vous des Repaires

juin 2017

  • A l’occasion de la Fête de la musique nous recevons Jean-François TEALDI : il viendra nous parler de son livre Journaliste, syndicaliste, communiste. Trente-sept ans d’un combat dans l’audiovisuel. Mais pas que, nous avons prévu de parler aussi de Macron et des médias !

  • Jeudi 29 juin, le Café repaire d’Angers accueillera Alessandro Di Giuseppe, le Pap’40 de l’Église de la Très-Sainte Consommation pour une rencontre autour de “l’artivisme”, cette forme de militantisme qu’il affectionne à base d’actions de rue théâtralisées. Avec lui, la résistance à la (...)

  • La Part de l’Ange vous invite à découvrir l’association Casas Solidaris, qui vous exposera la situation de l’habitat à Béziers, et sa mission d’insertion, de rénovation de l’habitat du cœur de ville, de logement social. Une petite restauration sera proposée. Veuillez réserver au 06 58 89 85 (...)

  • En juillet, les participants choisissent le ou les thèmes dont ils veulent débattre en début de séance. Un coup de cœur ou un coup de gueule à partager ? C’est le moment !

  • Après un exposé sur l’objet et l’intérêt pour ces outils, ce sera l’occasion de débattre ensemble sur ce thème, autour d’un verre ! Rendez-vous au bar l’Entre-Temps, 12, avenue François-Mitterrand, à Liffré. Gratuit. Contact : 06 60 38 06 37

Une sélection :

Une série d’histoires dans les luttes pour l’émancipation, racontées par Olivier Besancenot La révolution des œillets : quand un coup d’État militaire met fin à une dictature AbonnésVoir

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Le 25 avril 1974, peu après minuit, la radio portugaise diffuse la chanson de Zeca Afonso, Grândola, Vila Morena. Pour ses auditeurs avertis, c’est le signe du déclenchement du coup d’État qu’on retiendra comme la « révolution des œillets », qui mit fin à 41 années de dictature. De 1932 à 1968, l’État nouveau (« Estado Novo »), ce fascisme à la portuguaise, fut dirigé par António de Oliveira Salazar, un dictateur autoritaire, conservateur, catholique, nationaliste, anti-communiste et colonialiste.

Tchernobyl, c’est notre paradis ! Avec les derniers habitants de la zone interdite Les joyeux fantômes de Tchernobyl Accès libreÉcouter

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Elles préféraient rester dans la zone contaminée plutôt que de quitter leur maison. Des centaines de milliers d’habitants furent évacués de gré ou de force dans une zone de 30 km après la catastrophe du 25 avril 1986. Mais ces quelques femmes avaient voulu rester, malgré dénuement et abandon.

Environ 700 irréductibles, les SAMOSELY, survivaient ainsi dans la zone la plus contaminée par la radioactivité dans le monde, 2 600 km2, devenue aujourd’hui un « parc involontaire » où se développent une faune et une flore étranges, avec toujours ces habitants tenaces depuis trente ans. (...)