Procédé de mise en œuvre de satisfaction de besoins publics de l’État et des collectivités territoriales, voire même d’établissements publics, le PPP (partenariat public-privé) a souvent mauvaise presse, et pas seulement en France.
Déjà, de par son origine, anglo-saxonne. Source diabolique s’il en est.
Le recours à ce type de marchés publics est justifié pour diverses raisons, certaines très honorables, d’autres moins, même si cela ne signifie pas malhonnêtes. Chacun des protagonistes du PPP (le maître d’ouvrage et l’exécutant) a ses priorités. Quelles sont-elles ? Sont-elles incompatibles ?
Le PPP n’est pas seulement un procédé, il est aussi une réponse à un besoin dans un contexte économique basé sur une philosophie politique qu’il est plus facile d’évacuer d’un revers de main que d’en vouloir réfuter les arguments.
Plusieurs exemples mettent en évidence les risques pour le donneur d’ordre, certains sont même emblématiques. Mais les risques peuvent avoir des origines diverses et l’impact sera, au regard de l’analyse, très différent : juridiques ou techniques, économiques ou politiques.
Mais si le PPP ne méritait ni une détestation aveugle ni une approbation silencieuse ?
Ce café repaire se déroulera à la "La Petite Marche",4 rue des Trois Fuseaux, à La Rochelle le 21 octobre prochain de 19h à 21h.