Luttes

On n’est pas des pantins, la vie nous appartient ! (Lycéens en colère)

Le

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Au mois de mars 2008, Pascale Pascariello a suivi pendant trois semaines un petit groupe de lycéens du 93 en lutte.
Contre les réformes, loin des racailles et des coups de Karcher, c’est tout simplement les jeunes des milieux populaires qui comprennent que les réformes sont faites pour les défavoriser d’avantage...
Avec Shérazade, Avicenne, Yasmine, Anass, et les autres...

Programmation musicale :


 Kenny Arkana : La rage
 Massilia Sound System : Agonie
 Nouvel R : Je refuse

Emission du mardi 16 décembre 2008

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Une série d’histoires dans les luttes pour l’émancipation, racontées par Olivier Besancenot La révolution des œillets : quand un coup d’État militaire met fin à une dictature AbonnésVoir

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Le 25 avril 1974, peu après minuit, la radio portugaise diffuse la chanson de Zeca Afonso, Grândola, Vila Morena. Pour ses auditeurs avertis, c’est le signe du déclenchement du coup d’État qu’on retiendra comme la « révolution des œillets », qui mit fin à 41 années de dictature. De 1932 à 1968, l’État nouveau (« Estado Novo »), ce fascisme à la portuguaise, fut dirigé par António de Oliveira Salazar, un dictateur autoritaire, conservateur, catholique, nationaliste, anti-communiste et colonialiste.

Tchernobyl, c’est notre paradis ! Avec les derniers habitants de la zone interdite Les joyeux fantômes de Tchernobyl Accès libreÉcouter

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Elles préféraient rester dans la zone contaminée plutôt que de quitter leur maison. Des centaines de milliers d’habitants furent évacués de gré ou de force dans une zone de 30 km après la catastrophe du 25 avril 1986. Mais ces quelques femmes avaient voulu rester, malgré dénuement et abandon.

Environ 700 irréductibles, les SAMOSELY, survivaient ainsi dans la zone la plus contaminée par la radioactivité dans le monde, 2 600 km2, devenue aujourd’hui un « parc involontaire » où se développent une faune et une flore étranges, avec toujours ces habitants tenaces depuis trente ans. (...)